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J'aimerais partager avec vous cet article paru sur le journal français ''Le Monde'', j'apprécie beaucoup l'analyse des faits et la vision objective de la journaliste à double nationalité, franco-libanaise, Dominique Eddé :
Logique de purification éthnique à Gaza
LE MONDE | 05.01.09 | 13h37 •
Quel est le bénéfice attendu par Israël, au terme de cette énième entreprise de bombardement, "Plomb durci" ? Sécuriser les citoyens israéliens. Anéantir le Hamas. Connaît-on un cas de figure ayant prouvé, par le passé, que la méthode pouvait marcher ?
L'opération "Raisins de la colère", accompagnée du massacre de Cana, au Liban, en 1996 ? Elle a renforcé le Hezbollah et s'est soldée par le retrait des troupes israéliennes du Liban sud en 2000. L'opération "Rempart à Jénine", au printemps 2002 ? "Voie ferme", deux mois plus tard ? 2002 et 2003 ont été des années sanglantes pour les populations civiles en Israël : 293 morts. "Arc-en-ciel", en mai 2004 ? "Jour de pénitence", quatre mois plus tard, au nord de la bande de Gaza, avec les mêmes sinistres bilans ? Les assassinats de dirigeants politiques du Hamas exécutés et revendiqués sans complexe par le pouvoir israélien ? Les attentats-suicides ont culminé en 2005. Et, au début de l'année suivante, le Hamas obtenait la majorité absolue aux élections législatives.
La guerre au Liban, en 2006, avec, à la clé, un pays dévasté et plus de 1 000 morts civils dont 30 % d'enfants ? Là encore, Israël a détruit pour rien. Son butin ? L'échange, en juillet 2008, de deux dépouilles mortelles de soldats israéliens d'un côté, contre cinq détenus et des dizaines de dépouilles mortelles libanaises et palestiniennes de l'autre.
Que gagnent les dirigeants du Hamas en poursuivant leurs tirs de roquettes sur Israël ? Pourquoi cet acharnement à donner des coups qu'ils encaissent au centuple, en retour ? Qu'un mouvement de résistance, face à une force d'occupation, se tienne prêt à perdre des hommes pour gagner du terrain, soit. Mais quand le rapport de forces est ce qu'il est ? Quand chaque tir de roquettes est suivi d'un déluge de feu, quand l'action est aussi coûteuse en vies humaines, aussi improductive sur le plan politique, aussi impopulaire sur le plan international ? Quelle est la logique d'une telle obstination ?
Il est vrai que la victoire démocratique du Hamas lui a été volée. Vrai, que la négation quasi unanime de son droit au pouvoir l'a dangereusement isolé. Si bien que nous ne saurons jamais ce qu'il aurait fait s'il avait été pris pour interlocuteur. Il n'empêche : un combat politique réclame d'autant plus de vigilance et d'inventivité que l'adversité est grande, les moyens limités. Les deux ont cruellement manqué.
Pourquoi les membres du Hamas se croient-ils obligés de surenchérir sans cesse, au prix de leur crédibilité et de la survie des leurs ? Pourquoi cette application à ne rien entendre de la peur israélienne de l'avenir, à rester incompris plutôt qu'à se faire comprendre ? Que gagnent-ils à l'ajournement de la reconnaissance d'Israël ? Une carte à jouer dans de futures négociations ? N'est-ce pas plutôt en posant cette carte sur la table qu'ils pourraient commencer à en gagner d'autres, à remettre le droit au centre du débat ?
Qu'a apporté à son peuple le président de l'Autorité palestinienne, en échange de sa totale soumission au pouvoir américain et israélien ? De concession en concession, de poignée de main en poignée de main, il n'a rien obtenu de plus que son maintien au pouvoir. Il a confondu l'ouverture et la capitulation. Il a mis en danger la cohésion de son peuple. Et, durant ce temps, la corruption qui avait causé l'échec électoral de son parti se poursuit impunément.
ses sbires n'ont pas mieux réussi que les membres du Hamas à tenir un discours un tant soit peu cohérent. Digne. Articulé. Un discours qui crée le mouvement, qui frappe l'imagination, qui traite la tête haute - à égalité - avec les Israéliens. Ils ont bradé les acquis de la première Intifada. Ils ont pris goût à la collaboration, aux pourparlers stériles, à ce qui signe, depuis près d'un siècle, la ruine politique du monde arabe.
Que gagne le pouvoir américain à soutenir inconditionnellement la politique israélienne ? Le maintien, certes, d'une relation ultraprivilégiée avec un partenaire stratégique qui est aussi le pays détenteur (avéré) de la bombe atomique au Moyen-Orient. Reste la question majeure : en quoi la moisson de la politique israélo-américaine des quarante dernières années est-elle de nature à conforter celle-ci dans ses choix ? Trois de ses axes fondamentaux n'ont cessé de s'avérer inopérants et dangereux :
1) La quête de la domination politique par le recours à la toute-puissance militaire. En Irak, comme en territoires occupés, cette équation n'a pas marché. Ni en 1991, lors de la première guerre du Golfe. Ni, un an après l'autre, en Cisjordanie et à Gaza. Ni en 2006, au Liban. Ni depuis cinq ans, avec la seconde guerre du Golfe.
2) Le choix de la maîtrise par la division communautaire. Outre sa politique systématique de morcellement, d'effritement des territoires occupés, tout indique que le pouvoir israélien nourrit le rêve d'expulser d'Israël ses populations non juives. De prôner partout la séparation. De démembrer la région, en autant de morceaux communautaires. Gaza étant le morceau du morceau du morceau.
En avalisant cette politique de fragmentation, foncièrement religieuse, avec ses risques de purification ethnique, les Etats-Unis s'exposent et exposent le monde au pire des scénarios qui voudrait que les populations se retrouvent, un peu partout, contraintes et forcées de rentrer dans les rangs. Chaque entité dans sa ville, son quartier, sa rue, son ghetto. Est-il besoin de fournir des exemples pour affirmer que cette fin de la différence et de la mixité, c'est l'organisation de la mort ?
3) La mise en place de toutes sortes de manipulations et stratagèmes en lieu et place du droit international. C'est ainsi, notamment, que les accords d'Oslo ont sapé la paix dont ils se réclamaient. Comment ? En maintenant toutes les colonies dans les territoires occupés.
A force de traiter les Palestiniens (les Arabes en général) par le mépris, à force de ne traiter qu'avec ceux d'entre eux qui sont à la botte, de leur extorquer concession sur concession, de jouer au plus fin, de préférer grignoter encore et toujours du territoire - un bout de Jérusalem par- ci, une colonie par-là -, que gagnent les plus forts ? La rage du plus faible ? Sa défaite ? Pas seulement. Ce à quoi nous assistons avec une ponctualité effrayante, c'est la transformation progressive d'une situation négociable en une situation explosive, ingérable.
Si Israël et les Etats-Unis persistent à nier l'humiliation innommable, le désespoir fou, dangereux pour tous, que génère leur politique, alors ce désespoir continuera de se répandre de pays en pays. Et, dans cette escalade, chaque jour sera un jour de trop. S'ils s'obstinent à ne pas s'interroger sur les raisons pour lesquelles un jeune lanceur de pierres, en 1987, s'est métamorphosé sept ans plus tard en bombe humaine, alors les jeunes oubliés de la vie seront de plus en plus nombreux à être candidats à la mort.
Pourquoi ne pas dire les choses simplement ? Si les Etats-Unis et Israël réunis n'ont pas réussi, à ce jour, à protéger l'avenir d'Israël, c'est que leur méthode n'est pas la bonne. S'ils n'en changent pas, Gaza, la prison infernale, sera le signe avant-coureur de nos lendemains et des leurs.
Logique de purification éthnique à Gaza
LE MONDE | 05.01.09 | 13h37 •
Quel est le bénéfice attendu par Israël, au terme de cette énième entreprise de bombardement, "Plomb durci" ? Sécuriser les citoyens israéliens. Anéantir le Hamas. Connaît-on un cas de figure ayant prouvé, par le passé, que la méthode pouvait marcher ?
L'opération "Raisins de la colère", accompagnée du massacre de Cana, au Liban, en 1996 ? Elle a renforcé le Hezbollah et s'est soldée par le retrait des troupes israéliennes du Liban sud en 2000. L'opération "Rempart à Jénine", au printemps 2002 ? "Voie ferme", deux mois plus tard ? 2002 et 2003 ont été des années sanglantes pour les populations civiles en Israël : 293 morts. "Arc-en-ciel", en mai 2004 ? "Jour de pénitence", quatre mois plus tard, au nord de la bande de Gaza, avec les mêmes sinistres bilans ? Les assassinats de dirigeants politiques du Hamas exécutés et revendiqués sans complexe par le pouvoir israélien ? Les attentats-suicides ont culminé en 2005. Et, au début de l'année suivante, le Hamas obtenait la majorité absolue aux élections législatives.
La guerre au Liban, en 2006, avec, à la clé, un pays dévasté et plus de 1 000 morts civils dont 30 % d'enfants ? Là encore, Israël a détruit pour rien. Son butin ? L'échange, en juillet 2008, de deux dépouilles mortelles de soldats israéliens d'un côté, contre cinq détenus et des dizaines de dépouilles mortelles libanaises et palestiniennes de l'autre.
Que gagnent les dirigeants du Hamas en poursuivant leurs tirs de roquettes sur Israël ? Pourquoi cet acharnement à donner des coups qu'ils encaissent au centuple, en retour ? Qu'un mouvement de résistance, face à une force d'occupation, se tienne prêt à perdre des hommes pour gagner du terrain, soit. Mais quand le rapport de forces est ce qu'il est ? Quand chaque tir de roquettes est suivi d'un déluge de feu, quand l'action est aussi coûteuse en vies humaines, aussi improductive sur le plan politique, aussi impopulaire sur le plan international ? Quelle est la logique d'une telle obstination ?
Il est vrai que la victoire démocratique du Hamas lui a été volée. Vrai, que la négation quasi unanime de son droit au pouvoir l'a dangereusement isolé. Si bien que nous ne saurons jamais ce qu'il aurait fait s'il avait été pris pour interlocuteur. Il n'empêche : un combat politique réclame d'autant plus de vigilance et d'inventivité que l'adversité est grande, les moyens limités. Les deux ont cruellement manqué.
Pourquoi les membres du Hamas se croient-ils obligés de surenchérir sans cesse, au prix de leur crédibilité et de la survie des leurs ? Pourquoi cette application à ne rien entendre de la peur israélienne de l'avenir, à rester incompris plutôt qu'à se faire comprendre ? Que gagnent-ils à l'ajournement de la reconnaissance d'Israël ? Une carte à jouer dans de futures négociations ? N'est-ce pas plutôt en posant cette carte sur la table qu'ils pourraient commencer à en gagner d'autres, à remettre le droit au centre du débat ?
Qu'a apporté à son peuple le président de l'Autorité palestinienne, en échange de sa totale soumission au pouvoir américain et israélien ? De concession en concession, de poignée de main en poignée de main, il n'a rien obtenu de plus que son maintien au pouvoir. Il a confondu l'ouverture et la capitulation. Il a mis en danger la cohésion de son peuple. Et, durant ce temps, la corruption qui avait causé l'échec électoral de son parti se poursuit impunément.
ses sbires n'ont pas mieux réussi que les membres du Hamas à tenir un discours un tant soit peu cohérent. Digne. Articulé. Un discours qui crée le mouvement, qui frappe l'imagination, qui traite la tête haute - à égalité - avec les Israéliens. Ils ont bradé les acquis de la première Intifada. Ils ont pris goût à la collaboration, aux pourparlers stériles, à ce qui signe, depuis près d'un siècle, la ruine politique du monde arabe.
Que gagne le pouvoir américain à soutenir inconditionnellement la politique israélienne ? Le maintien, certes, d'une relation ultraprivilégiée avec un partenaire stratégique qui est aussi le pays détenteur (avéré) de la bombe atomique au Moyen-Orient. Reste la question majeure : en quoi la moisson de la politique israélo-américaine des quarante dernières années est-elle de nature à conforter celle-ci dans ses choix ? Trois de ses axes fondamentaux n'ont cessé de s'avérer inopérants et dangereux :
1) La quête de la domination politique par le recours à la toute-puissance militaire. En Irak, comme en territoires occupés, cette équation n'a pas marché. Ni en 1991, lors de la première guerre du Golfe. Ni, un an après l'autre, en Cisjordanie et à Gaza. Ni en 2006, au Liban. Ni depuis cinq ans, avec la seconde guerre du Golfe.
2) Le choix de la maîtrise par la division communautaire. Outre sa politique systématique de morcellement, d'effritement des territoires occupés, tout indique que le pouvoir israélien nourrit le rêve d'expulser d'Israël ses populations non juives. De prôner partout la séparation. De démembrer la région, en autant de morceaux communautaires. Gaza étant le morceau du morceau du morceau.
En avalisant cette politique de fragmentation, foncièrement religieuse, avec ses risques de purification ethnique, les Etats-Unis s'exposent et exposent le monde au pire des scénarios qui voudrait que les populations se retrouvent, un peu partout, contraintes et forcées de rentrer dans les rangs. Chaque entité dans sa ville, son quartier, sa rue, son ghetto. Est-il besoin de fournir des exemples pour affirmer que cette fin de la différence et de la mixité, c'est l'organisation de la mort ?
3) La mise en place de toutes sortes de manipulations et stratagèmes en lieu et place du droit international. C'est ainsi, notamment, que les accords d'Oslo ont sapé la paix dont ils se réclamaient. Comment ? En maintenant toutes les colonies dans les territoires occupés.
A force de traiter les Palestiniens (les Arabes en général) par le mépris, à force de ne traiter qu'avec ceux d'entre eux qui sont à la botte, de leur extorquer concession sur concession, de jouer au plus fin, de préférer grignoter encore et toujours du territoire - un bout de Jérusalem par- ci, une colonie par-là -, que gagnent les plus forts ? La rage du plus faible ? Sa défaite ? Pas seulement. Ce à quoi nous assistons avec une ponctualité effrayante, c'est la transformation progressive d'une situation négociable en une situation explosive, ingérable.
Si Israël et les Etats-Unis persistent à nier l'humiliation innommable, le désespoir fou, dangereux pour tous, que génère leur politique, alors ce désespoir continuera de se répandre de pays en pays. Et, dans cette escalade, chaque jour sera un jour de trop. S'ils s'obstinent à ne pas s'interroger sur les raisons pour lesquelles un jeune lanceur de pierres, en 1987, s'est métamorphosé sept ans plus tard en bombe humaine, alors les jeunes oubliés de la vie seront de plus en plus nombreux à être candidats à la mort.
Pourquoi ne pas dire les choses simplement ? Si les Etats-Unis et Israël réunis n'ont pas réussi, à ce jour, à protéger l'avenir d'Israël, c'est que leur méthode n'est pas la bonne. S'ils n'en changent pas, Gaza, la prison infernale, sera le signe avant-coureur de nos lendemains et des leurs.
bijou- Nombre de messages : 841
Age : 114
Résidence : LAVAL - QUEBEC
Date d'inscription : 08/04/2006
Re: PARTAGE
Salam,
Tous les restaurants MC Donalds ont réservé les recettes du samedi au soutien d'Israël.
Prière de transmettre ce message. Allahouma ini qad ballaghte.
Tous les restaurants MC Donalds ont réservé les recettes du samedi au soutien d'Israël.
Prière de transmettre ce message. Allahouma ini qad ballaghte.
bijou- Nombre de messages : 841
Age : 114
Résidence : LAVAL - QUEBEC
Date d'inscription : 08/04/2006
Re: PARTAGE
Salam bijou,
Comment vas-tu avec le froid glacial d aujourd hui. Et il parait que ca sera pire encore demain et apres-demain.
Merci pour ce message. Si apres ca quelqu un va encore au Macdo! Il y a tellement d autres restaurants ou aller, et leurs plats sont tellement plus delicieux.
A+.
Comment vas-tu avec le froid glacial d aujourd hui. Et il parait que ca sera pire encore demain et apres-demain.
Merci pour ce message. Si apres ca quelqu un va encore au Macdo! Il y a tellement d autres restaurants ou aller, et leurs plats sont tellement plus delicieux.
A+.
saraya- Nombre de messages : 1869
Résidence : Canada
Date d'inscription : 21/10/2008
Re: PARTAGE
Salam chère soeur,
Figure-toi que j'ai marché 30 minutes avec ces conditions, un aller/retour entre bureau de poste et maison, je n'avais froid qu'au visage et aux genoux, un autre défi que je me suis lancé pour tester mon endurance. On finit par tout apprendre dans ce pays.
Amitiés à la famille. A bientôt.
Figure-toi que j'ai marché 30 minutes avec ces conditions, un aller/retour entre bureau de poste et maison, je n'avais froid qu'au visage et aux genoux, un autre défi que je me suis lancé pour tester mon endurance. On finit par tout apprendre dans ce pays.
Amitiés à la famille. A bientôt.
bijou- Nombre de messages : 841
Age : 114
Résidence : LAVAL - QUEBEC
Date d'inscription : 08/04/2006
Re: PARTAGE
Exemple remarquable de discours politique s'étant produit récemment au
sein de l'Assemblée de l'ONU et qui a fait sourire la communauté mondiale.
Discours du représentant palestinien à l'ONU:
"Avant de débuter mon intervention, j'aimerais vous dire quelque chose à
propos de Moïse. Lorsqu'il frappa le rocher et fit pénétrer les eaux, il
pensa, quelle magnifique opportunité de prendre un bain ! Il ôta ses
vêtements, les posa sur le rocher et entra dans l'eau. Lorsqu'il sortit et
désira se rhabiller, ses vêtements avaient disparu. Un Israélien les lui
avait volés.
Le représentant israélien se leva en colère et vociféra: "De quoi
parlez-vous ? Les Israéliens n'étaient même pas là à l'époque !".
Le représentant palestinien sourit et ajouta: et maintenant que les choses
sont clairement établies, je vais commencer mon intervention".
sein de l'Assemblée de l'ONU et qui a fait sourire la communauté mondiale.
Discours du représentant palestinien à l'ONU:
"Avant de débuter mon intervention, j'aimerais vous dire quelque chose à
propos de Moïse. Lorsqu'il frappa le rocher et fit pénétrer les eaux, il
pensa, quelle magnifique opportunité de prendre un bain ! Il ôta ses
vêtements, les posa sur le rocher et entra dans l'eau. Lorsqu'il sortit et
désira se rhabiller, ses vêtements avaient disparu. Un Israélien les lui
avait volés.
Le représentant israélien se leva en colère et vociféra: "De quoi
parlez-vous ? Les Israéliens n'étaient même pas là à l'époque !".
Le représentant palestinien sourit et ajouta: et maintenant que les choses
sont clairement établies, je vais commencer mon intervention".
bijou- Nombre de messages : 841
Age : 114
Résidence : LAVAL - QUEBEC
Date d'inscription : 08/04/2006
Re: PARTAGE
Une très bonne manière d expliquer un fait. Toute l histoire est résume en un petit chapitre, claire et nette, dévoiler par l adversaire lui même. Que pourrons dire de plus. La7awla Ouala 9owata Ila Billah. Merci Bijou pour le partage.
nouha- Nombre de messages : 2337
Age : 100
Résidence : Installee
Emploi : Banquière
Statut : Installée
Date d'inscription : 07/05/2008
Re: PARTAGE
Salam,
Merci bijou pour le partage. N est-ce pas la un exemple concret du proverbe ``Tel est pris qui croyait prendre``?
Merci bijou pour le partage. N est-ce pas la un exemple concret du proverbe ``Tel est pris qui croyait prendre``?
saraya- Nombre de messages : 1869
Résidence : Canada
Date d'inscription : 21/10/2008
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