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Conseil général du PLQ - Charest ne veut plus parler des juges
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Conseil général du PLQ - Charest ne veut plus parler des juges
Par Radio-Canada, www.radio-canada.ca, Mis à jour le: 18 avril 2010 08:09
Conseil
général du PLQ - Charest ne veut plus parler des juges
En clôture d'un conseil général du PLQ hanté par
la controverse sur le processus de nomination des juges, le premier
ministre délaisse ce sujet pour parler plutôt d'économie, d'éducation et
de santé.
Au
dernier jour du conseil général du Parti libéral du Québec (PLQ), à
St-Hyacinthe, Jean Charest a voulu tourner la page sur toute la
controverse entourant le processus de nomination des juges pour se
concentrer plutôt sur l'économie, l'éducation et la santé. Dans
son discours de clôture de la rencontre, M. Charest a indiqué qu'il
entendait tabler sur la reprise économique pour regagner la confiance
des Québecois, confiance qui s'est considérablement effritée au cours de
la dernière semaine.
Le premier ministre a indiqué qu'il
mettrait tout en oeuvre pour que les Québécois puissent tirer le
meilleur profit de la reprise économique. « On a livré la
marchandise pour la crise, on va livrer la marchandise pour la
reprise », a-t-il assuré. M. Charest a répété que son
gouvernement maintiendrait le cap sur l'équilibre des finances, aux
termes du « contrat » passé avec les Québécois. En d'autres termes,
toutes les mesures du budget Bachand seront mises en oeuvre. Selon
Jean Charest, le budget du 30 mars dernier contribuera à assurer
l'avenir du Québec pour les prochaines générations. L'éducation
et la santéLe conseil général du PLQ avait pour thème
central l'éducation, mais le sujet est passé quelque peu inaperçu, au
profit de la controverse entourant la nomination des juges. Au
terme de la rencontre, Jean Charest a abordé la réforme de l'éducation,
en compagnie la ministre de l'Éducation Michelle Courchesne. Il a
indiqué que le gouvernement reverra les méthodes actuellement utilisées
pour l'intégration des élèves handicapés et en difficulté (EHDA) dans
les classes régulières. La ministre de l'Éducation a admis que
les enseignants peuvent se sentir dépassés devant des enfants qui
présentent des « sources de difficulté très différentes ». En
santé, le premier ministre est revenu sur les mesures comprises dans le
dernier budget. Il a ainsi laissé entendre que la franchise que
paieraient les Québécois pour chaque visite chez le médecin pourrait
être calculée de façon progressive, en fonction des revenus de chacun.
Dans son budget, le gouvernement avait évoqué la possibilité de faire
payer une franchise universelle de 25 $ pour chaque visite chez le
médecin. « Il y a une chose que l'on a bien captée suite au
budget c'est que les Québécois veulent que dans l'ensemble des mesures
santé, il y ait un élément de progression dans la contribution [...] Les
Québécois nous ont dit : "Quand il y aura une discussion sur la
franchise, il faut qu'il y ait une progression là-dedans. À nos yeux, il
y a un élément de justice". Ça, on l'a bien entendu. Ce n'est pas tombé
dans l'oreille d'un sourd », a déclaré Jean Charest. Des
réponses lors de la commission BastaracheLors de son
point de presse, c'est cependant de Michel Bastarache, et de la
commission d'enquête sur le processus de nomination des juges, dont le
premier ministre a surtout parlé. Aux nombreuses questions qui
ont été posées au chef libéral, en français et en anglais, à propos de
la nomination des juges, M. Charest a, invariablement, donné la même
réponse : c'est à la commission Bastarache de se pencher sur ces sujets.
M. Bastarache, ancien juge de la Cour suprême, dirige la
Commission d'enquête instituée à la suite des allégations de trafic
d'influence formulées par l'ex-ministre de la Justice Marc Bellemare. Cette
attitude tranche avec celle que Jean Charest avait adoptée au début du
Conseil général. Vendredi, il n'avait pas hésité à commenter les propos
de sa ministre de la Justice, Kathleen Weil. Il avait reconnu avoir eu
accès à la liste des candidats au poste de juge avant leur nomination
par le Conseil des ministres.
M. Charest n'a pas non plus voulu
s'expliquer sur ce changement de stratégie de communication se
contentant, à nouveau, d'expliquer que la Commission Bastarache
demeurait le meilleur endroit pour parler de tout cela. Le
premier ministre a tout de même admis avoir trouvé la dernière semaine
plutôt difficile. « Je n'ai pas trouvé la dernière semaine
facile. J'ai trouvé ça dur. Des fois la politique c'est dur, des fois la
politique est injuste », a déclaré M. Charest.
Conseil
général du PLQ - Charest ne veut plus parler des juges
En clôture d'un conseil général du PLQ hanté par
la controverse sur le processus de nomination des juges, le premier
ministre délaisse ce sujet pour parler plutôt d'économie, d'éducation et
de santé.
Au
dernier jour du conseil général du Parti libéral du Québec (PLQ), à
St-Hyacinthe, Jean Charest a voulu tourner la page sur toute la
controverse entourant le processus de nomination des juges pour se
concentrer plutôt sur l'économie, l'éducation et la santé. Dans
son discours de clôture de la rencontre, M. Charest a indiqué qu'il
entendait tabler sur la reprise économique pour regagner la confiance
des Québecois, confiance qui s'est considérablement effritée au cours de
la dernière semaine.
Le premier ministre a indiqué qu'il
mettrait tout en oeuvre pour que les Québécois puissent tirer le
meilleur profit de la reprise économique. « On a livré la
marchandise pour la crise, on va livrer la marchandise pour la
reprise », a-t-il assuré. M. Charest a répété que son
gouvernement maintiendrait le cap sur l'équilibre des finances, aux
termes du « contrat » passé avec les Québécois. En d'autres termes,
toutes les mesures du budget Bachand seront mises en oeuvre. Selon
Jean Charest, le budget du 30 mars dernier contribuera à assurer
l'avenir du Québec pour les prochaines générations. L'éducation
et la santéLe conseil général du PLQ avait pour thème
central l'éducation, mais le sujet est passé quelque peu inaperçu, au
profit de la controverse entourant la nomination des juges. Au
terme de la rencontre, Jean Charest a abordé la réforme de l'éducation,
en compagnie la ministre de l'Éducation Michelle Courchesne. Il a
indiqué que le gouvernement reverra les méthodes actuellement utilisées
pour l'intégration des élèves handicapés et en difficulté (EHDA) dans
les classes régulières. La ministre de l'Éducation a admis que
les enseignants peuvent se sentir dépassés devant des enfants qui
présentent des « sources de difficulté très différentes ». En
santé, le premier ministre est revenu sur les mesures comprises dans le
dernier budget. Il a ainsi laissé entendre que la franchise que
paieraient les Québécois pour chaque visite chez le médecin pourrait
être calculée de façon progressive, en fonction des revenus de chacun.
Dans son budget, le gouvernement avait évoqué la possibilité de faire
payer une franchise universelle de 25 $ pour chaque visite chez le
médecin. « Il y a une chose que l'on a bien captée suite au
budget c'est que les Québécois veulent que dans l'ensemble des mesures
santé, il y ait un élément de progression dans la contribution [...] Les
Québécois nous ont dit : "Quand il y aura une discussion sur la
franchise, il faut qu'il y ait une progression là-dedans. À nos yeux, il
y a un élément de justice". Ça, on l'a bien entendu. Ce n'est pas tombé
dans l'oreille d'un sourd », a déclaré Jean Charest. Des
réponses lors de la commission BastaracheLors de son
point de presse, c'est cependant de Michel Bastarache, et de la
commission d'enquête sur le processus de nomination des juges, dont le
premier ministre a surtout parlé. Aux nombreuses questions qui
ont été posées au chef libéral, en français et en anglais, à propos de
la nomination des juges, M. Charest a, invariablement, donné la même
réponse : c'est à la commission Bastarache de se pencher sur ces sujets.
M. Bastarache, ancien juge de la Cour suprême, dirige la
Commission d'enquête instituée à la suite des allégations de trafic
d'influence formulées par l'ex-ministre de la Justice Marc Bellemare. Cette
attitude tranche avec celle que Jean Charest avait adoptée au début du
Conseil général. Vendredi, il n'avait pas hésité à commenter les propos
de sa ministre de la Justice, Kathleen Weil. Il avait reconnu avoir eu
accès à la liste des candidats au poste de juge avant leur nomination
par le Conseil des ministres.
M. Charest n'a pas non plus voulu
s'expliquer sur ce changement de stratégie de communication se
contentant, à nouveau, d'expliquer que la Commission Bastarache
demeurait le meilleur endroit pour parler de tout cela. Le
premier ministre a tout de même admis avoir trouvé la dernière semaine
plutôt difficile. « Je n'ai pas trouvé la dernière semaine
facile. J'ai trouvé ça dur. Des fois la politique c'est dur, des fois la
politique est injuste », a déclaré M. Charest.
Erable_Atlas_Fun- Nombre de messages : 65
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