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quand il fait froid au Québec
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quand il fait froid au Québec
Quand il fait froid au Québec, ce froid laisse sa forme psychologique et devient un froid véritable. Il abandonne l'imagination la plus impitoyable et s'installe sur le pays. Le paysage se transforme alors en un désert blanc pendant l'hiver. Il n'y a pas un endroit où arrêter le regard sur le sable fin qui est la neige au Québec. Tout se perd parmi des ombres et des tons blancs et grisâtres. Les ombres imprégnent la neige comme le sel dans le désert. Il peut venter en plus d'une manière inusitée : intense et soutenue pendant des jours et des jours. Le vent du Nord ronge comme de papier abrasif, s'infiltre à travers du monde, traverse les vêtements et la chaire et mord les os. Serre les cœurs. 20 degrées au-desous zéro. Trop de froid. Au Québec, le mot “froid” est froid en lui même. Avec ses cinq lettres pointues. Coupantes. Le vent du Nord ne pardonne pas la peau nue, et il la mord juste ici : là où il sait que peut faire du mal. Les cornées souffrent beaucoup de ces attaques. Avec le vent et la neige, le froid redouble de toutes ses forces pour le simple et pur objet de détruire la vie dans le désert blanc. Geler la peau. Telle semble être son idée fixe, à l'intérieur de son esprit étroit. La glace semble faite des fins cristaux en acier, et marcher là c'est comme marcher sur des verres écrasés. C'est pourquoi, quand il fait froid au Québec, la vie se resserre dans les rues au cœur même de Montréal, et les gens cherchent un refuge dans le métro et dans la cité souterraine, dans ce monde au-dessous du monde. Les flaques craquent comme de verre quand on met le pied dessus. Tandis que dehors, sur les chemins, la neige fine s'accumule comme du sel dans le désert, bercée par le vent dans un mouvement sinusoïdal. Et le serpent de bitume du même que les hommes, ne trouvent plus leur site dans ce monde gelé.
Mais à Montréal le froid n’est pas si intense comme dans les villages au nord du fleuve Saint-Laurent. Là-bas la température descend beaucoup et la couche de glace sur les lacs est de plusieurs centimètres, en paralysant même l’infatigable fleuve qui à ce point se mêle avec la mer. 40 degrées au-dessous zéro: la mer même cède du terrain a la glace et au froid, et l’eau salée dort longtemps dans un cercueil de glace, en attrapant des navires et des hommes qui tombent, jusqu’à l'été prochain. Le printemps, l'automne ne sont que mots imagés du vocabulaire des hommes du nord. C’est ainsi dans ce pays où l’hiver dure six mois. Le Québec se transforme alors en un paysage d’une beauté effrayante. Le froid qu’on peut lire ou imaginer dans un récit n’est rien par rapport au froid qu’on vit dans ces endroits. Même le soleil n’ose pas rester longtemps sur l’horizon, et préfère quitter rapidement vers des pays moins froids. La réalité au Québec est encore plus cruelle que l’imagination la plus perverse.
On sait que le froid est un ennemi qui envahit tout, qui s'approprie la ville sans que personne n’ose l'arrêter. On le voit rôder pendant des jours à l'automne, sans se décider encore à tout envahir, à se promener par toutes les rues avec un pas martial et triomphant, un air moqueur; On le rencontre à tous les coins des rues, sur le pas de toutes les portes, déterminé à mutiler les arbres, à geler les cœurs et à décourager les hommes.
Mais très tôt, il finit toujours par arriver: le froid s'approprie rapidement le Québec, et la vie se plie face à ce pouvoir énorme, soumise et faible. Éteinte. Si un voyageur dépourvu est surpris à 50 degrés Celsius au-dessous de zéro dans la rue, les distances qu'il doit parcourir s'allongent dans une proportion quasi-mathématique, se font infinies. Les jambes se nient alors à parcourir l'infini. Le vent avec de la glace, ce qu'on appelle le blizzard, le gratte d’une manière impitoyable, toujours en essayant de le faire tomber par terre, toujours lui frappant le visage. Le froid pénètre sans pitié jusqu’aux poumons. L’atmosphère gelée est si dense que l'eau. L'haleine se gèle avant même de sortir. Les doigts des pieds et des mains causent des douleurs aiguës comme si elles venaient d'autrui. La neige remplit sa mission et l'empêche d'avancer : elle le fatigue, le fixe au sol et l'épuise son désir de continuer. Si le voyageur est un étranger il s'obstine, en espérant ne pas mourir de froid avant d'atteindre le prochain refuge: la petite maison blanche du coin ou l'entrée de ce bâtiment. S'il peut le faire, s'il arrive à franchir ces mètres qui constituent la frontière entre la vie et la mort au Canada, alors, à l'intérieur la chaleur - amie ancestrale des survivants - parvient comme toujours à le ranimer, et à sauver sa vie au moment même où il semblait la perdre. Et le pauvre voyageur se demande -sans avoir jamais la vraie réponse- s'il a imaginé la mort où si elle l'attend toujours dehors. C'est toujours ainsi, quand il fait froid au Québec.
Mais à Montréal le froid n’est pas si intense comme dans les villages au nord du fleuve Saint-Laurent. Là-bas la température descend beaucoup et la couche de glace sur les lacs est de plusieurs centimètres, en paralysant même l’infatigable fleuve qui à ce point se mêle avec la mer. 40 degrées au-dessous zéro: la mer même cède du terrain a la glace et au froid, et l’eau salée dort longtemps dans un cercueil de glace, en attrapant des navires et des hommes qui tombent, jusqu’à l'été prochain. Le printemps, l'automne ne sont que mots imagés du vocabulaire des hommes du nord. C’est ainsi dans ce pays où l’hiver dure six mois. Le Québec se transforme alors en un paysage d’une beauté effrayante. Le froid qu’on peut lire ou imaginer dans un récit n’est rien par rapport au froid qu’on vit dans ces endroits. Même le soleil n’ose pas rester longtemps sur l’horizon, et préfère quitter rapidement vers des pays moins froids. La réalité au Québec est encore plus cruelle que l’imagination la plus perverse.
On sait que le froid est un ennemi qui envahit tout, qui s'approprie la ville sans que personne n’ose l'arrêter. On le voit rôder pendant des jours à l'automne, sans se décider encore à tout envahir, à se promener par toutes les rues avec un pas martial et triomphant, un air moqueur; On le rencontre à tous les coins des rues, sur le pas de toutes les portes, déterminé à mutiler les arbres, à geler les cœurs et à décourager les hommes.
Mais très tôt, il finit toujours par arriver: le froid s'approprie rapidement le Québec, et la vie se plie face à ce pouvoir énorme, soumise et faible. Éteinte. Si un voyageur dépourvu est surpris à 50 degrés Celsius au-dessous de zéro dans la rue, les distances qu'il doit parcourir s'allongent dans une proportion quasi-mathématique, se font infinies. Les jambes se nient alors à parcourir l'infini. Le vent avec de la glace, ce qu'on appelle le blizzard, le gratte d’une manière impitoyable, toujours en essayant de le faire tomber par terre, toujours lui frappant le visage. Le froid pénètre sans pitié jusqu’aux poumons. L’atmosphère gelée est si dense que l'eau. L'haleine se gèle avant même de sortir. Les doigts des pieds et des mains causent des douleurs aiguës comme si elles venaient d'autrui. La neige remplit sa mission et l'empêche d'avancer : elle le fatigue, le fixe au sol et l'épuise son désir de continuer. Si le voyageur est un étranger il s'obstine, en espérant ne pas mourir de froid avant d'atteindre le prochain refuge: la petite maison blanche du coin ou l'entrée de ce bâtiment. S'il peut le faire, s'il arrive à franchir ces mètres qui constituent la frontière entre la vie et la mort au Canada, alors, à l'intérieur la chaleur - amie ancestrale des survivants - parvient comme toujours à le ranimer, et à sauver sa vie au moment même où il semblait la perdre. Et le pauvre voyageur se demande -sans avoir jamais la vraie réponse- s'il a imaginé la mort où si elle l'attend toujours dehors. C'est toujours ainsi, quand il fait froid au Québec.
figomidos- Nombre de messages : 423
Age : 43
Résidence : ONTARIO,Ottawa
Emploi : Coowner of Restaurent
Date d'inscription : 11/11/2005
mais la vie ne s arrete pas a la belle province
Aujourd’hui, il fait frette ! » Une petite phrase lancée à l’occasion d’un « avertissement météorologique » diffusé lors d’un bulletin d’informations et la Belle Province se met aux aguets. Cette expression est un véritable signal d’alarme pour les Québécois. Quand ils l’entendent, ils comprennent que cette journée-là, ils devront sortir leur panoplie de combattant du froid - blouson par-dessus plusieurs épaisseurs de vêtements, mitaines (gants), tuque (bonnet), bas de laine (chaussettes) - s’ils veulent mettre le nez dehors.
« Frette », un mot tiré de l’argot québécois (joual) qui désigne une température polaire accompagnée d’un vent glacial. Si nos cousins du Nouveau Monde ont éprouvé le besoin de créer cette formule, c’est parce qu’il n’existait pas de vocable français assez puissant pour décrire la sensation éprouvée par celui qui ose franchir le seuil de sa maison, alors que le mercure s’approche dangereusement des - 30 øC et que le vent souffle en rafales. Quand il fait « frette », la froideur est saisissante et elle donne l’impression à celui qui la subit que la température extérieure est encore plus extrême : - 40 øC, voire - 50 øC. Les météorologues parlent alors de « refroidissement éolien ».
Les jours de « frette », le froid pénètre sans pitié jusque dans les poumons, l’haleine gèle avant même de sortir de la bouche et celui qui n’a pas pris la peine de protéger son appendice nasal a l’étrange et désagréable sensation que son nez n’est plus qu’un trou béant.
Pourtant, lorsque ces températures extrêmes touchent le Québec, comme ce fut le cas pratiquement tout le mois de janvier, la vie ne s’arrête pas. Dans la rue, les passants se font moins nombreux, et on les voit chercher refuge dans les bouches de métro, dans les rues souterraines de Montréal ou dans les boutiques et les centres commerciaux, afin de se réchauffer un peu avant de reprendre leur pénible progression.
Car, malgré la « froidure », le gouvernement ne donne aucune consigne ; ni les écoles ni les immeubles gouvernementaux ne ferment leurs portes. Il est hors de question d’invoquer le climat arctique pour justifier une absence. · - 50 øC, les livreurs livrent, les facteurs déposent le courrier dans les boîtes aux lettres et les cars de ramassage scolaire continuent de déverser leurs flots d’élèves dans les écoles. Seuls les ouvriers du bâtiment bénéficient parfois d’une certaine clémence : mais c’est surtout parce que leurs équipements, composés de métal, risquent de se briser en raison du froid.
En règle générale, l’activité humaine se trouve seulement ralentie. « Nous recommandons aux entrepreneurs de permettre à leurs employés de se réchauffer après une heure ou deux de travail à l’extérieur, précise Benoît Motard, directeur général de l’Association provinciale des constructeurs d’habitation du Québec (APCHQ). Souvent, les ouvriers ne sentent pas le froid et c’est là qu’il devient sournois puisqu’il peut causer de graves engelures. » Dans les écoles aussi, on se méfie de cette morsure de l’hiver. D’ailleurs, la majorité des établissements scolaires gardent leurs élèves dans les locaux pendant les récréations et leur interdisent de sortir. Quant aux parents, ils déposent leurs rejetons juste devant la porte.
Curieusement, à l’annonce d’une vague de froid, la consigne que les Québécois respectent le plus est celle qui consiste à protéger les batteries des voitures afin d’éviter qu’elles ne se déchargent pendant la nuit. Ça et là, fleurissent alors des rallonges électriques orange et bleu qui raccordent les moteurs à des prises de courant.
Lorsque les véhicules acceptent de démarrer au petit jour, les usagers de la route ne sont cependant pas tirés d’affaire. Les forts vents peuvent en effet entraîner une réduction importante de la visibilité en raison de la « poudrerie » (le blizzard soulève la neige des bas-côtés et aveugle le conducteur). En outre, des plaques de glace rendent parfois la chaussée extrêmement glissante. La route représente, en somme, le seul véritable danger de l’hiver. D’ailleurs, ce n’est que lorsque la province est victime de pluie verglaçante ou d’une forte tempête de neige, que le gouvernement ordonne la fermeture des établissements publics et qu’il conseille aux habitants de rester chez eux.
Finalement, si le « frette » handicape un peu la vie de la province, il fait surtout des heureux. En effet, depuis quelques années, certains restaurateurs et musées ont décidé d’accorder des réductions « thermomètre » à leurs clients. Ainsi s’il fait - 5 øC à l’extérieur, les clients obtiennent 5 % de réduction et si le mercure atteint - 30 øC, le rabais est de 30 %.
« Frette », un mot tiré de l’argot québécois (joual) qui désigne une température polaire accompagnée d’un vent glacial. Si nos cousins du Nouveau Monde ont éprouvé le besoin de créer cette formule, c’est parce qu’il n’existait pas de vocable français assez puissant pour décrire la sensation éprouvée par celui qui ose franchir le seuil de sa maison, alors que le mercure s’approche dangereusement des - 30 øC et que le vent souffle en rafales. Quand il fait « frette », la froideur est saisissante et elle donne l’impression à celui qui la subit que la température extérieure est encore plus extrême : - 40 øC, voire - 50 øC. Les météorologues parlent alors de « refroidissement éolien ».
Les jours de « frette », le froid pénètre sans pitié jusque dans les poumons, l’haleine gèle avant même de sortir de la bouche et celui qui n’a pas pris la peine de protéger son appendice nasal a l’étrange et désagréable sensation que son nez n’est plus qu’un trou béant.
Pourtant, lorsque ces températures extrêmes touchent le Québec, comme ce fut le cas pratiquement tout le mois de janvier, la vie ne s’arrête pas. Dans la rue, les passants se font moins nombreux, et on les voit chercher refuge dans les bouches de métro, dans les rues souterraines de Montréal ou dans les boutiques et les centres commerciaux, afin de se réchauffer un peu avant de reprendre leur pénible progression.
Car, malgré la « froidure », le gouvernement ne donne aucune consigne ; ni les écoles ni les immeubles gouvernementaux ne ferment leurs portes. Il est hors de question d’invoquer le climat arctique pour justifier une absence. · - 50 øC, les livreurs livrent, les facteurs déposent le courrier dans les boîtes aux lettres et les cars de ramassage scolaire continuent de déverser leurs flots d’élèves dans les écoles. Seuls les ouvriers du bâtiment bénéficient parfois d’une certaine clémence : mais c’est surtout parce que leurs équipements, composés de métal, risquent de se briser en raison du froid.
En règle générale, l’activité humaine se trouve seulement ralentie. « Nous recommandons aux entrepreneurs de permettre à leurs employés de se réchauffer après une heure ou deux de travail à l’extérieur, précise Benoît Motard, directeur général de l’Association provinciale des constructeurs d’habitation du Québec (APCHQ). Souvent, les ouvriers ne sentent pas le froid et c’est là qu’il devient sournois puisqu’il peut causer de graves engelures. » Dans les écoles aussi, on se méfie de cette morsure de l’hiver. D’ailleurs, la majorité des établissements scolaires gardent leurs élèves dans les locaux pendant les récréations et leur interdisent de sortir. Quant aux parents, ils déposent leurs rejetons juste devant la porte.
Curieusement, à l’annonce d’une vague de froid, la consigne que les Québécois respectent le plus est celle qui consiste à protéger les batteries des voitures afin d’éviter qu’elles ne se déchargent pendant la nuit. Ça et là, fleurissent alors des rallonges électriques orange et bleu qui raccordent les moteurs à des prises de courant.
Lorsque les véhicules acceptent de démarrer au petit jour, les usagers de la route ne sont cependant pas tirés d’affaire. Les forts vents peuvent en effet entraîner une réduction importante de la visibilité en raison de la « poudrerie » (le blizzard soulève la neige des bas-côtés et aveugle le conducteur). En outre, des plaques de glace rendent parfois la chaussée extrêmement glissante. La route représente, en somme, le seul véritable danger de l’hiver. D’ailleurs, ce n’est que lorsque la province est victime de pluie verglaçante ou d’une forte tempête de neige, que le gouvernement ordonne la fermeture des établissements publics et qu’il conseille aux habitants de rester chez eux.
Finalement, si le « frette » handicape un peu la vie de la province, il fait surtout des heureux. En effet, depuis quelques années, certains restaurateurs et musées ont décidé d’accorder des réductions « thermomètre » à leurs clients. Ainsi s’il fait - 5 øC à l’extérieur, les clients obtiennent 5 % de réduction et si le mercure atteint - 30 øC, le rabais est de 30 %.
figomidos- Nombre de messages : 423
Age : 43
Résidence : ONTARIO,Ottawa
Emploi : Coowner of Restaurent
Date d'inscription : 11/11/2005
Re: quand il fait froid au Québec
Merci figomidos ,si c'est possible de nous expliquer comment font les petits enfants pour aller à l'école même avec le transport et même chose pour les adultes pour partir au boulot
sara- Nombre de messages : 454
Résidence : maroc
Emploi : directrice commerciale
Statut : fes
Date d'inscription : 13/10/2005
Re: quand il fait froid au Québec
Iwa hiya lwahed i wajed 3la rasso o safi. Had lkhibiyrat 3andek kayjibo lkazzaz rien qu'en les lisant
believer- Nombre de messages : 343
Age : 49
Résidence : Montréal
Emploi : Formateur
Statut : RP
Date d'inscription : 22/12/2005
Re: quand il fait froid au Québec
pas de panique
aujourd'hui -6 degrés et c très normale .. il faut juste faire attention lorsqu'il y a du vent car le froid ressentit augmente avec l'EFFET-VENT
aujourd'hui -6 degrés et c très normale .. il faut juste faire attention lorsqu'il y a du vent car le froid ressentit augmente avec l'EFFET-VENT
Invité- Invité
Re: quand il fait froid au Québec
tout a fait dac... marocerabl atlas
c est l exstreme la c pas pour fair peur ,c est trop normal,ce cas la de froid extreme ne dur que peux de temps et c rare que les temperature chute trop bas et longtemps.mis c est un frois suportable,avec le materiel de bord,des vetement certifier,par l etat pas de panique
lbass mazyan et sort tres normal on s y habitut ,c est comme la premiere sensation qu on a eu lors de notre premiere entres au hamam baldi,,,skhoooooooooonnnnnnn,lorsequ on etait enfants
mais c est froid au lieu de skhoooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
et a la maison le chaufage pas de panique,je suis en t schirt chez soi
c est l exstreme la c pas pour fair peur ,c est trop normal,ce cas la de froid extreme ne dur que peux de temps et c rare que les temperature chute trop bas et longtemps.mis c est un frois suportable,avec le materiel de bord,des vetement certifier,par l etat pas de panique
lbass mazyan et sort tres normal on s y habitut ,c est comme la premiere sensation qu on a eu lors de notre premiere entres au hamam baldi,,,skhoooooooooonnnnnnn,lorsequ on etait enfants
mais c est froid au lieu de skhoooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
et a la maison le chaufage pas de panique,je suis en t schirt chez soi
figomidos- Nombre de messages : 423
Age : 43
Résidence : ONTARIO,Ottawa
Emploi : Coowner of Restaurent
Date d'inscription : 11/11/2005
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