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Faire carrière dans le communautaire?
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Faire carrière dans le communautaire?
Les organismes communautaires constituent une porte d’entrée dans la vie professionnelle et un tremplin d’accès au secteur public pour de nombreux jeunes diplômés.
par Guillaume Jousset
Le secteur communautaire rassemble près de 14 000 entreprises et organismes à but non lucratif au Québec. «Le communautaire, c’est très large et c’est loin de se limiter à l’aide aux personnes en difficulté», insiste Ysabel Provencher, professeur à l’École de service social de l’Université Laval. «On y retrouve les mêmes professions que dans le privé, comme des juristes offrant de l’aide juridique ou des ingénieurs en environnement», assure-t-elle. Ces derniers peuvent intervenir dans des organismes de gouvernance de l’eau ou de conservation des milieux humides.
Les entreprises communautaires œuvrent dans plus de vingt-quatre champs d’activités tels que la petite enfance, l’emploi et l’insertion sociale, le logement, les loisirs, la santé ou les services sociaux. Les salariés du communautaire peuvent donc travailler avec des publics très diversifiés, notamment des personnes réfugiées, des femmes, des aînés, des personnes handicapées ou des jeunes.
Diplômés recherchés
Le secteur fait face à une pénurie de main-d’œuvre qui devrait s’accentuer avec les nombreux départs à la retraite prévus dès 2011. «Les personnes diplômées sont les plus recherchés par les organisations, tout particulièrement pour occuper des postes de coordonateur ou de gestionnaire», explique Jean-Pierre Deslauriers, professeur associé à l’Université du Québec en Outaouais et auteur du livre Travailler dans le communautaire. Les organismes communautaires sont donc en concurrence avec les secteurs publics et parapublics, comme les centres de santé et de services sociaux, pour attirer ces salariés auxquels ils offrent cependant des conditions de travail et des salaires moins compétitifs.
Selon Mme Provencher, le secteur communautaire est facile d’accès pour les jeunes diplômés, car les besoins en personnel qualifié sont importants, amplifiés par l’important taux de roulement. Les diplômés y acquièrent une expérience qui leur sert de tremplin pour leur carrière. «Après quelques années en emploi dans le secteur communautaire, plusieurs professionnels tentent de rejoindre les services publics où leur connaissance des clientèles est très appréciée», assure M. Deslauriers. Ceux qui décident d’y rester sont des passionnés. Ils le font avant tout pour la cause.
Sourcehttp://carriere.jobboom.com/marche-travail/secteurs/economie-sociale/2010/01/05/12355841-je.html
par Guillaume Jousset
Le secteur communautaire rassemble près de 14 000 entreprises et organismes à but non lucratif au Québec. «Le communautaire, c’est très large et c’est loin de se limiter à l’aide aux personnes en difficulté», insiste Ysabel Provencher, professeur à l’École de service social de l’Université Laval. «On y retrouve les mêmes professions que dans le privé, comme des juristes offrant de l’aide juridique ou des ingénieurs en environnement», assure-t-elle. Ces derniers peuvent intervenir dans des organismes de gouvernance de l’eau ou de conservation des milieux humides.
Les entreprises communautaires œuvrent dans plus de vingt-quatre champs d’activités tels que la petite enfance, l’emploi et l’insertion sociale, le logement, les loisirs, la santé ou les services sociaux. Les salariés du communautaire peuvent donc travailler avec des publics très diversifiés, notamment des personnes réfugiées, des femmes, des aînés, des personnes handicapées ou des jeunes.
Diplômés recherchés
Le secteur fait face à une pénurie de main-d’œuvre qui devrait s’accentuer avec les nombreux départs à la retraite prévus dès 2011. «Les personnes diplômées sont les plus recherchés par les organisations, tout particulièrement pour occuper des postes de coordonateur ou de gestionnaire», explique Jean-Pierre Deslauriers, professeur associé à l’Université du Québec en Outaouais et auteur du livre Travailler dans le communautaire. Les organismes communautaires sont donc en concurrence avec les secteurs publics et parapublics, comme les centres de santé et de services sociaux, pour attirer ces salariés auxquels ils offrent cependant des conditions de travail et des salaires moins compétitifs.
Selon Mme Provencher, le secteur communautaire est facile d’accès pour les jeunes diplômés, car les besoins en personnel qualifié sont importants, amplifiés par l’important taux de roulement. Les diplômés y acquièrent une expérience qui leur sert de tremplin pour leur carrière. «Après quelques années en emploi dans le secteur communautaire, plusieurs professionnels tentent de rejoindre les services publics où leur connaissance des clientèles est très appréciée», assure M. Deslauriers. Ceux qui décident d’y rester sont des passionnés. Ils le font avant tout pour la cause.
Sourcehttp://carriere.jobboom.com/marche-travail/secteurs/economie-sociale/2010/01/05/12355841-je.html
rosa- Nombre de messages : 870
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