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Les amis de mes amis font mon réseau
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Taurus
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Les amis de mes amis font mon réseau
Les amis de mes amis font mon réseau
La mise en relation de contacts et les échanges d'informations au sein d'une communauté sur le Net deviennent un atout pour rechercher un emploi ou définir un projet professionnel.
L'ABC du «réseautage» en ligne
Développer ses contacts sur Internet en vue d'obtenir un emploi, c'est un peu comme fréquenter un site de rencontres pour trouver l'âme sœur. Il faut connaître les meilleurs outils et savoir les utiliser de façon optimale pour se présenter à des employeurs. Puis, après l'exploration de sites spécialisés et de forums, il faudra passer des contacts en ligne aux rencontres en chair et en os.
C'est la petite bête qui monte dans le domaine de la recherche d'emploi sur l'Internet. A côté des gigantesques CVthèques constituées par les portails d'emploi (Monster, cadreemploi, Apec, etc.) dans lesquelles les entreprises et les cabinets de recrutement viennent se servir en candidats potentiels, les sites de réseaux sociaux à vocation professionnelle sont en plein essor. Une tendance encore récente en France mais très en phase avec cette nouvelle donne d'un marché du travail en voie de durcissement accéléré : pas d'opportunités de boulot sans réseau et pas d'entretien du réseau sans recours à l'Internet. Pour l'essentiel gratuits en dehors de quelques fonctions «premium», ces lieux de «réseautage» en ligne sont à l'emploi ce que les sites de rencontres sont au sexe : un outil de mise en relation, de prise de contact et plus si affinités. «Il y a trois niveaux d'implication dans la recherche d'emploi sur l'Internet, explique Yann Mauchamp, responsable pour la France de la «communauté d'affaires» OpenBC. Le premier consiste à balancer son CV en ligne et à attendre de voir si ça mord, le deuxième à se servir des réseaux sociaux pour élargir son cercle professionnel et le troisième à compter sur son blog pour prouver ses talents à la terre entière. A raison d'une à deux heures par semaine, la fréquentation d'un réseau social permet raisonnablement de viser un retour sur investissement à moyen terme.»
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Première étape du parcours du «Networker», la création de son profil. Plus étoffée qu'un CV, cette fiche permet de définir son projet professionnel et d'expliquer à ses futures connexions la raison de sa présence. «80 % des membres s'inscrivent en ayant été "invités" par un proche, mais ils ne savent pas pourquoi ils viennent, à part pour dire j'y suis, explique un connecté de la première heure. Leur démarche est totalement inutile.» Une fois ce profil établi, le «réseautage» tous azimuts peut commencer en mettant en pratique, sur le web, le vieil adage selon lequel «les amis de mes amis sont mes amis». Inscription à des forums, présents par centaines, selon que l'on s'inté-resse à l'aéronautique, aux échanges franco-allemands, que l'on soit créateur d'entreprise, consultant ou même gay, demandes de mise en relation directe à des membres avec qui vous avez un point commun identifié par le biais du moteur de recherche, la palette d'outils disponible pour faire grossir son réseau est très riche. Qu'il affiche deux ou trois contacts au compteur ou plusieurs milliers pour les plus boulimiques (la moyenne se situe autour d'une trentaine), la «qualité» du réseau de chaque membre n'est pas pour autant proportionnelle à la quantité de contacts. «Le risque de se disperser est très fort, surtout au début, analyse Yann Mauchamp, avec l'expérience on finit par se concentrer sur l'essentiel, c'est-à-dire l'entretien d'un réseau que l'on peut activer en fonction de ses besoins.»
A l'ère de la cooptation virtuelle, rien ne remplace la rencontre en chair et en os. D'où la multitude d'événements, réunions, organisés par les membres pour approfondir des liens que l'Internet ne fait qu'esquisser. «C'est bien beau de papillonner en ligne, mais il faut passer du virtuel au concret, dépasser le stade de l'Internet», témoigne Patrice, un consultant en ressources humaines qui organise des rencontres sur son secteur. «Cela permet de mieux évaluer le potentiel de la personne et de voir si vous êtes réellement en phase avec elle. C'est incomparable.»
Si les convertis à ces «accélérateurs d'opportunités», comme les appelle un chasseur de tête intrigué par le phénomène, ne sont pas tous des altruistes prêts à ouvrir leur réseau à tous les vents de l'Internet, ils s'accordent en revanche sur cette règle d'or : plus on donne des informations, plus on est susceptible d'en recevoir. Surreprésentés dans les professions liés à la high-tech, l'informatique et chez les in- dépendants, les Networkers passent leur temps à tenter de répondre à la question : tu ne connais pas dans ton réseau quelqu'un qui... ? «Les services que l'on s'y rend n'ont rien de gratuit contrairement à ce que croient certains, analyse Yann Mauchamp, simplement ils se monnayent pas. L'échange d'informations fonctionne parce qu'il est réciproque.» Trop beau pour être vrai ? «Derrière leur promesse d'ouverture, les réseaux sociaux n'en créent pas moins de nouvelles ségrégations, juge Frédérick Jacquelet, un ancien de l'industrie pharmaceutique passé au coaching. Ceux qui ne maîtrisent pas ces technologies sont très désavantagés mais également tous les anciens salariés au chômage qui s'imaginent que ces sites vont leur permettre de retrouver rapidement un emploi fixe.»
Source : www.liberation.fr
Bonne chance
Knadienment
Taurus
La mise en relation de contacts et les échanges d'informations au sein d'une communauté sur le Net deviennent un atout pour rechercher un emploi ou définir un projet professionnel.
L'ABC du «réseautage» en ligne
Développer ses contacts sur Internet en vue d'obtenir un emploi, c'est un peu comme fréquenter un site de rencontres pour trouver l'âme sœur. Il faut connaître les meilleurs outils et savoir les utiliser de façon optimale pour se présenter à des employeurs. Puis, après l'exploration de sites spécialisés et de forums, il faudra passer des contacts en ligne aux rencontres en chair et en os.
C'est la petite bête qui monte dans le domaine de la recherche d'emploi sur l'Internet. A côté des gigantesques CVthèques constituées par les portails d'emploi (Monster, cadreemploi, Apec, etc.) dans lesquelles les entreprises et les cabinets de recrutement viennent se servir en candidats potentiels, les sites de réseaux sociaux à vocation professionnelle sont en plein essor. Une tendance encore récente en France mais très en phase avec cette nouvelle donne d'un marché du travail en voie de durcissement accéléré : pas d'opportunités de boulot sans réseau et pas d'entretien du réseau sans recours à l'Internet. Pour l'essentiel gratuits en dehors de quelques fonctions «premium», ces lieux de «réseautage» en ligne sont à l'emploi ce que les sites de rencontres sont au sexe : un outil de mise en relation, de prise de contact et plus si affinités. «Il y a trois niveaux d'implication dans la recherche d'emploi sur l'Internet, explique Yann Mauchamp, responsable pour la France de la «communauté d'affaires» OpenBC. Le premier consiste à balancer son CV en ligne et à attendre de voir si ça mord, le deuxième à se servir des réseaux sociaux pour élargir son cercle professionnel et le troisième à compter sur son blog pour prouver ses talents à la terre entière. A raison d'une à deux heures par semaine, la fréquentation d'un réseau social permet raisonnablement de viser un retour sur investissement à moyen terme.»
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A l'ère de la cooptation virtuelle, rien ne remplace la rencontre en chair et en os. D'où la multitude d'événements, réunions, organisés par les membres pour approfondir des liens que l'Internet ne fait qu'esquisser. «C'est bien beau de papillonner en ligne, mais il faut passer du virtuel au concret, dépasser le stade de l'Internet», témoigne Patrice, un consultant en ressources humaines qui organise des rencontres sur son secteur. «Cela permet de mieux évaluer le potentiel de la personne et de voir si vous êtes réellement en phase avec elle. C'est incomparable.»
Si les convertis à ces «accélérateurs d'opportunités», comme les appelle un chasseur de tête intrigué par le phénomène, ne sont pas tous des altruistes prêts à ouvrir leur réseau à tous les vents de l'Internet, ils s'accordent en revanche sur cette règle d'or : plus on donne des informations, plus on est susceptible d'en recevoir. Surreprésentés dans les professions liés à la high-tech, l'informatique et chez les in- dépendants, les Networkers passent leur temps à tenter de répondre à la question : tu ne connais pas dans ton réseau quelqu'un qui... ? «Les services que l'on s'y rend n'ont rien de gratuit contrairement à ce que croient certains, analyse Yann Mauchamp, simplement ils se monnayent pas. L'échange d'informations fonctionne parce qu'il est réciproque.» Trop beau pour être vrai ? «Derrière leur promesse d'ouverture, les réseaux sociaux n'en créent pas moins de nouvelles ségrégations, juge Frédérick Jacquelet, un ancien de l'industrie pharmaceutique passé au coaching. Ceux qui ne maîtrisent pas ces technologies sont très désavantagés mais également tous les anciens salariés au chômage qui s'imaginent que ces sites vont leur permettre de retrouver rapidement un emploi fixe.»
Source : www.liberation.fr
Bonne chance
Knadienment
Taurus
Re: Les amis de mes amis font mon réseau
Merci taurus
thht- Nombre de messages : 2167
Age : 47
Résidence : Toronto
Date d'inscription : 18/05/2005
Re: Les amis de mes amis font mon réseau
Taurus même si je n'est pas encore lu
OUM AL MAHDI- Nombre de messages : 355
Age : 55
Résidence : montréal
Statut : installé depuis le 27/04/2006
Date d'inscription : 10/11/2005
Re: Les amis de mes amis font mon réseau
mon ami,
Cordialement,
Noureddine
Cordialement,
Noureddine
admin27- Nombre de messages : 2276
Age : 49
Résidence : Montréal - Québec
Emploi : Benevole
Date d'inscription : 16/05/2005
Re: Les amis de mes amis font mon réseau
Tu as raison : le reseau est important que ca soit au canada ou ailleurs.
Merci.
Bon courage a nous tous.
Merci.
Bon courage a nous tous.
Re: Les amis de mes amis font mon réseau
merci bcp tout à fait d'accord
lallawafae- Nombre de messages : 112
Date d'inscription : 29/06/2005
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