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L’indécision, la bête noire de l’orientation
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L’indécision, la bête noire de l’orientation
L’indécision, la bête noire de l’orientation
Par Marlène Lebreux
Collaboration spéciale
25 février 2008
Pour bien des jeunes, l’heure de la décision quant à leur prochain programme d’études approche à grands pas. Ce moment, plusieurs d’entre eux le redoutent. Hésitant entre une option ou une autre, la tête remplie de questionnements sur leurs intérêts et leurs aptitudes, ils sont aux prises avec la bête noire de l’orientation : l’indécision! Pourtant, il n’y a rien d’alarmant à être indécis!
Dans quel programme devrais-je m’inscrire? Quel parcours scolaire sera le meilleur pour atteindre mon objectif? Est-ce que ce programme correspond vraiment à mes goûts? Comment puis-je m’assurer que mon choix de profession me convienne vraiment? Voilà des questions qui franchissent couramment la porte du bureau de Mme Lucie Després, conseillère d’orientation à l’école secondaire Pointe-Lévy, à Lévis. « Même si certains disent avoir fait leur choix, il n’en demeure pas moins qu’ils vivent de l’anxiété. Pour la plupart, c’est la première décision d’importance qu’ils doivent prendre », dit-elle.
Dur, dur de choisir!
Dans son livreSortir de l’indécision, lancé l’automne dernier,Mme Isabelle Falardeau, conseillère d’orientation, explique les différentes causes liées à la difficulté de choisir à divers moments de la vie, que ce soit sur le plan professionnel, personnel, social ou autre. Concernant l’indécision vocationnelle des jeunes, les manques d’expérience, d’information, d’organisation et de vision peuvent paralyser le processus décisionnel : « Ils sont persuadés qu’ils doivent trouver la voie qui les attend dans la vie! Plusieurs croient qu’un seul métier ou une seule profession les rendra heureux, ce qui n’est pas le cas. À vrai dire, ils pourraient très bien occuper une dizaine de professions différentes et connaître une carrière épanouissante. Il faut dédramatiser l’heure de la prise de décision. Il n’y a pas qu’un seul choix gagnant! »
À l’instar de leurs collègues conseillers d’orientation, Mmes Falardeau et Després établissent une distinction entre indécision chronique et indécision passagère. Le fait est que l’indécision passagère est bénéfique et porteuse de réflexion. « Il faut retenir que l’indécision passagère fait partie du processus de prise de décision, souligne-t-elle. C’est un état de non-décision que le jeune doit tolérer et profiter pour être à l’écoute de ce qui se passe autour de lui. Il doit également se questionner sur ce que sont ses valeurs, ses intérêts, ses aptitudes, sa personnalité. » Dans le domaine de l’orientation, on dit souvent « il faut savoir qui je suis pour mieux savoir où je vais! »
S’organiser pour décider
En plus d’apprendre à se connaître, le jeune doit explorer le marché du travail actuel et approfondir sa connaissance des différents programmes de formation. Le défi peut paraître de taille : il y aurait plus de 1500 programmes d’études postsecondaires au Québec. Des outils comme le Palmarès des carrières 2008, Cursus : L’expérience de s’orienter à partir de soi ainsi que les conseillers d’orientation sont à la disposition d’un jeune pour l’aider à organiser sa quête d’information dans un monde inondé de ressources documentaires – sites Web, livres, dépliants, dictionnaires, etc. – au sein duquel il est facile de se perdre!
« Heureusement, de moins en moins de jeunes attendent à la dernière minute pour faire un choix, constate Mme Després. Le milieu scolaire organise également de plus en plus d’activités d’orientation qui les incitent à se questionner et à découvrir le marché du travail et de la formation. »
Puis, un jour, arrive la dernière étape : la décision. Évidemment, passer à l’action exige de renoncer à certaines options et, par le fait même, de prendre un risque. « S’engager dans un choix, c’est se faire confiance, soutient Mme Falardeau. Il est très rare que les décisions qu’on prend soient complètement irréversibles. Un changement de programme est possible en cours d’études. La structure du système scolaire québécois le permet aisément. Un jeune sur trois change de programme au cégep, et tout autant au premier cycle universitaire. Il faut comprendre que ces étudiants n’abandonnent pas leur projet; en fait, ils le précisent. Ils réajustent leur cheminement scolaire et se rapprochent ainsi de leurs buts professionnels! »
Cette chronique est un service de Septembre éditeur qui diffuse des informations sur les métiers et professions, les programmes de formation et l’actualité du marché de l’emploi dans ses sites www.monemploi.com et www.1ermars.monemploi.com.
saladine- Nombre de messages : 408
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Résidence : Laval
Emploi : enseignant
Statut : Installé
Date d'inscription : 26/10/2006
Re: L’indécision, la bête noire de l’orientation
merci pour le sujet!
je croyais que cette situation est unique et sans pareil...je ressens la confusion...le desrroi et surtout l'ambiguité!!!
nous n'avons pas eu l'habitude de choisir ni de penser sans mettre les sentiments des proches en question...bon le premier seuil etait le passage du collège au lycée...qui parmis nous l'a fait sans prendre l'avis de tout le monde!!!tu poses la question banale qui decide de tout ton avenir!!!quelle est la branche la plus demandée!!!!et comme tout le monde le pense...les sciences l'emportent meme si tu n'as pas de gout pour ces sciences ...le soucis du travail tu le porte sur ton epaule à l'age de l'enfance...misère!
le deuxième seuil... après le bac qui est toujours sans espoir...mais c'est devant l'impasse qu'on te demande toujours de choisir!!!!
la liste est ouverte....
maintenant que je n'ai pas l'habitude de choisir que ferais je a 3ibad allah!!!
je croyais que cette situation est unique et sans pareil...je ressens la confusion...le desrroi et surtout l'ambiguité!!!
nous n'avons pas eu l'habitude de choisir ni de penser sans mettre les sentiments des proches en question...bon le premier seuil etait le passage du collège au lycée...qui parmis nous l'a fait sans prendre l'avis de tout le monde!!!tu poses la question banale qui decide de tout ton avenir!!!quelle est la branche la plus demandée!!!!et comme tout le monde le pense...les sciences l'emportent meme si tu n'as pas de gout pour ces sciences ...le soucis du travail tu le porte sur ton epaule à l'age de l'enfance...misère!
le deuxième seuil... après le bac qui est toujours sans espoir...mais c'est devant l'impasse qu'on te demande toujours de choisir!!!!
la liste est ouverte....
maintenant que je n'ai pas l'habitude de choisir que ferais je a 3ibad allah!!!
fouzia022- Nombre de messages : 540
Age : 51
Résidence : Montreal
Emploi : Dye chemistry
Statut : RP
Date d'inscription : 12/01/2008
Re: L’indécision, la bête noire de l’orientation
j'aurai aimé voir une grande interaction dans ce sujet
qu'on s'entraide dans nos orientations et nos choix
merci d'avance
qu'on s'entraide dans nos orientations et nos choix
merci d'avance
fouzia022- Nombre de messages : 540
Age : 51
Résidence : Montreal
Emploi : Dye chemistry
Statut : RP
Date d'inscription : 12/01/2008
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