La sécurité dans les universités montréalaises inquiète

Salam,

Montreal le 20 novembre 2006

Deux mois après la tragédie de Dawson, la sécurité dans les universités de Montréal serait très déficiente. Une enquête effectuée par le Journal de Montréal démontre que quiconque veut pénétrer dans une université montréalaise peut le faire sans encombre.

Un journaliste a pu entrer en pleine nuit à l'intérieur de plusieurs pavillons de 3 grandes universités, soit celles de Montréal, de l'UQAM et de la Polytechnique.
À Polytechnique, notamment, où 14 jeunes femmes avaient été tuées en 1989, le reporter est entré à deux reprises par la porte principale de l'établissement. À l'Université de Montréal, un gardien n'a posé aucune question et a continué à vaquer à ses occupations.

Par contre, il a été impossible de pénétrer dans deux universités anglophones, Concordia et McGill, les portes étant verrouillées ou des agents de sécurité ayant intercepté le journaliste.

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