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Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
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Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
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Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
Rachida M'Faddel est une femme lumineuse. C’est avec un large sourire aux lèvres qu’elle vous serre chaleureusement la main. Visiblement très heureuse de pouvoir partager son expérience de vie, elle entame la discussion avant même d’être assise. Un peu gênée, elle s’excuse pour son léger retard.
Il faut dire que Rachida est une femme des plus sollicitées. Elle occupe un poste à responsabilités au sein de la Commission des transports du Québec à Montréal. Inspectrice dans le secteur des véhicules lourds, elle doit aussi jongler avec ses trois enfants et sa carrière de romancière. Une vie bien remplie et épanouissante, mais qui est le fruit d’une longue recherche d’identité.
Une enfance française
Née en 1962 à Casablanca au Maroc, Rachida s’est «toujours sentie comme une immigrée». Dès l’âge de trois ans, elle quitte sa terre natale. Direction la France et l’Eure-et-Loir, où son père a trouvé du travail quelques années auparavant comme soudeur. Une enfance joyeuse où la petite marocaine ne se sent pas différente des autres:
«On était vraiment mélangés entre les communautés. Tout le monde jouait ensemble. J’étais persuadée que mes ancêtres étaient les Gaulois!»
Elle se souvient même avoir gardé les enfants de «vrais Français» sans que cela ne choque personne à l’époque. Mais peu à peu, Rachida perçoit une cassure dans la société et un nouveau regard qui s’installe sur les étrangers:
«Au début des années 80, la montée du Front National a entraîné une stigmatisation. On a associé le chômage avec les immigrés. Les gens ont commencé à avoir peur des étrangers.»
Son regard devient dur et sa voix moins douce, lorsqu’elle évoque de terribles inscriptions écrites en gros sur les murs: «Les Arabes dehors».
Face à cette xénophobie galopante, Rachida se tourne vers ses racines. Après un baccalauréat en littérature et quelques mois passés à l’université, elle plaque tout et retourne en 1983 au Maroc: «En quittant la France, j’ai décidé de me libérer du regard de rejet, accusateur». La jeune femme se marie et fonde alors une famille. Elle travaille pour le journal Maroc Hebdo et donne des cours de français dans l’institution privée le Maintenon à Casablanca.
Etrangère dans son propre pays
Même si Rachida possède tous les symboles de la réussite, elle ne sent toujours pas chez elle et le racisme la rattrape: «On me rappelait tout le temps que j’étais une enfant d’immigrés». Ne maîtrisant pas suffisamment bien l’arabe dialectale et les coutumes locales, elle est traitée comme «une marocaine de seconde zone». Sa belle-famille lui reproche même sa mentalité et ses valeurs françaises. De douloureux souvenirs qui voilent de tristesse ses grands yeux noirs. Considérée comme marocaine en France et comme française au Maroc, elle est «assise entre deux chaises».
Se sentant à l’étroit dans son pays d’origine, Rachida imagine alors un nouvel ailleurs. Après l’émigration de l’un de ses amis au Canada, la mère de famille commence à se renseigner sur cette lointaine destination. Elle propose l’idée à son mari, mais il ne se montre pas très enthousiaste. Pourquoi quitter un poste de cadre supérieur, une vie confortable, une belle résidence et des écoles privées pour les enfants?
Rachida réussit quand même à le convaincre, et en 2000, c’est le voyage vers l’inconnu: «On est partis à l’aventure!».
Québec, terre des possibles
La famille M'Faddel doit tout recommencer à zéro. Malgré ses qualifications, la professeure de français ne trouve dans un premier temps qu’un travail de vendeuse. Rachida est surtout inquiète de son niveau d’anglais. Elle se rend compte qu’au Québec, le bilinguisme est indispensable. La nouvelle arrivante s’accroche. Elle se met à lire dans la langue de Shakespeare et regarde attentivement les séries américaines.
Un travail payant qui lui permet de décrocher au bout d’un an un concours du gouvernement du Québec comme préposée à la formation. Malgré tous ces nouveaux défis, elle trouve le temps de signer en 2005 son premier roman, Le destin d’Assia, l'étrange étrangère, une fiction inspirée de son expérience marocaine. Son mari se lance de son côté à son compte et monte une entreprise d’importation de vêtements.
Mais cette intégration idéale est loin d’être la norme. Quotidiennement, Rachida rencontre des migrants en souffrance:
«Des chauffeurs de taxi qui ont des doctorats ou qui étaient autrefois avocats. Des universitaires qui font le ménage. Certains d’entre eux ont même travaillé pour des ministres!»
Ces travailleurs pourtant qualifiés n’arrivent pas à décrocher d’emploi faute d’équivalence de leurs diplômes et d’expérience québécoise. Les ordres professionnels sont très hermétiques au Canada, et les nouveaux résidents doivent reprendre le chemin de l’école pour exercer leur métier principal.
Très touchée par ces vies remises en question, Rachida décide de mener une enquête. Elle recueille le témoignage de migrants de toutes nationalités et s'en sert pour un deuxième roman. Le mirage canadien, publié en 2008, raconte l’histoire de Samia et Nabil, un couple de Marocains qui part s’installer au Québec.
Peu préparé à ce choc culturel, la famille se disloque peu à peu. Le père ne trouve pas de travail, la mère découvre une forme de liberté et les enfants sont livrés à eux-mêmes:
«Je voulais montrer aux Québécois que les migrants ne sont pas n’importe qui. Ils ont été sélectionnés. Ils laissent derrière eux leurs emplois et leur vie confortable. Il faut du courage.»
Cette histoire est aussi un guide à l’attention de tous ceux qui rêvent de l’aventure canadienne. «Il ne faut pas venir à l’aveuglette. C’est un peu comme une étude de marché», explique Rachida. «Il faut se renseigner sur ses objectifs et ses attentes. Il faut surtout avoir un plan B et être prêt à s’adapter en retournant aux études». Parmi les conseils les plus importants: venir au préalable quelques jours au Québec pour «tâter le terrain» et bien suivre les formations dès l’arrivée.
Une fois ces difficultés contournées, le mirage canadien peut très bien se transformer en miracle. Rachida n’a jamais regretté son choix: «Il y a une certaine qualité de vie au Canada et les gens sont gentils. On peut réaliser ses rêves ici».
L’écrivaine apprécie particulièrement la tolérance. Pour preuve, elle évoque une de ses collègues qui «porte un foulard, mais personne ne la juge. Au travail, on voit juste sa contribution et son professionnalisme». Un thème qu’elle va aborder dans son prochain ouvrage Regards croisés – Je me souviens. Cosigné avec Françoise Tremblay Saint-Gelais et Alexandra Imperiale, il s’agit d’une discussion entre trois femmes de religions différentes; une juive, une musulmane et une chrétienne.
Après dix années au Québec, l’écrivaine est aussi fière des possibilités offertes à ses enfants. Sa fille travaille pour l’une plus importantes banques du pays et ses deux fils étudient en architecture et en chimie.
Mais Rachida a surtout enfin trouvé son identité. Tiraillée entre ses différentes racines, elle est désormais sereine: «En France et au Maroc, je me sentais étrangère. Ici, je ne suis plus une immigrée. Je suis une canadienne d’origine marocaine et de culture française».
Stéphanie Trouillard
Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
Rachida M'Faddel est une femme lumineuse. C’est avec un large sourire aux lèvres qu’elle vous serre chaleureusement la main. Visiblement très heureuse de pouvoir partager son expérience de vie, elle entame la discussion avant même d’être assise. Un peu gênée, elle s’excuse pour son léger retard.
Il faut dire que Rachida est une femme des plus sollicitées. Elle occupe un poste à responsabilités au sein de la Commission des transports du Québec à Montréal. Inspectrice dans le secteur des véhicules lourds, elle doit aussi jongler avec ses trois enfants et sa carrière de romancière. Une vie bien remplie et épanouissante, mais qui est le fruit d’une longue recherche d’identité.
Une enfance française
Née en 1962 à Casablanca au Maroc, Rachida s’est «toujours sentie comme une immigrée». Dès l’âge de trois ans, elle quitte sa terre natale. Direction la France et l’Eure-et-Loir, où son père a trouvé du travail quelques années auparavant comme soudeur. Une enfance joyeuse où la petite marocaine ne se sent pas différente des autres:
«On était vraiment mélangés entre les communautés. Tout le monde jouait ensemble. J’étais persuadée que mes ancêtres étaient les Gaulois!»
Elle se souvient même avoir gardé les enfants de «vrais Français» sans que cela ne choque personne à l’époque. Mais peu à peu, Rachida perçoit une cassure dans la société et un nouveau regard qui s’installe sur les étrangers:
«Au début des années 80, la montée du Front National a entraîné une stigmatisation. On a associé le chômage avec les immigrés. Les gens ont commencé à avoir peur des étrangers.»
Son regard devient dur et sa voix moins douce, lorsqu’elle évoque de terribles inscriptions écrites en gros sur les murs: «Les Arabes dehors».
Face à cette xénophobie galopante, Rachida se tourne vers ses racines. Après un baccalauréat en littérature et quelques mois passés à l’université, elle plaque tout et retourne en 1983 au Maroc: «En quittant la France, j’ai décidé de me libérer du regard de rejet, accusateur». La jeune femme se marie et fonde alors une famille. Elle travaille pour le journal Maroc Hebdo et donne des cours de français dans l’institution privée le Maintenon à Casablanca.
Etrangère dans son propre pays
Même si Rachida possède tous les symboles de la réussite, elle ne sent toujours pas chez elle et le racisme la rattrape: «On me rappelait tout le temps que j’étais une enfant d’immigrés». Ne maîtrisant pas suffisamment bien l’arabe dialectale et les coutumes locales, elle est traitée comme «une marocaine de seconde zone». Sa belle-famille lui reproche même sa mentalité et ses valeurs françaises. De douloureux souvenirs qui voilent de tristesse ses grands yeux noirs. Considérée comme marocaine en France et comme française au Maroc, elle est «assise entre deux chaises».
Se sentant à l’étroit dans son pays d’origine, Rachida imagine alors un nouvel ailleurs. Après l’émigration de l’un de ses amis au Canada, la mère de famille commence à se renseigner sur cette lointaine destination. Elle propose l’idée à son mari, mais il ne se montre pas très enthousiaste. Pourquoi quitter un poste de cadre supérieur, une vie confortable, une belle résidence et des écoles privées pour les enfants?
Rachida réussit quand même à le convaincre, et en 2000, c’est le voyage vers l’inconnu: «On est partis à l’aventure!».
Québec, terre des possibles
La famille M'Faddel doit tout recommencer à zéro. Malgré ses qualifications, la professeure de français ne trouve dans un premier temps qu’un travail de vendeuse. Rachida est surtout inquiète de son niveau d’anglais. Elle se rend compte qu’au Québec, le bilinguisme est indispensable. La nouvelle arrivante s’accroche. Elle se met à lire dans la langue de Shakespeare et regarde attentivement les séries américaines.
Un travail payant qui lui permet de décrocher au bout d’un an un concours du gouvernement du Québec comme préposée à la formation. Malgré tous ces nouveaux défis, elle trouve le temps de signer en 2005 son premier roman, Le destin d’Assia, l'étrange étrangère, une fiction inspirée de son expérience marocaine. Son mari se lance de son côté à son compte et monte une entreprise d’importation de vêtements.
Mais cette intégration idéale est loin d’être la norme. Quotidiennement, Rachida rencontre des migrants en souffrance:
«Des chauffeurs de taxi qui ont des doctorats ou qui étaient autrefois avocats. Des universitaires qui font le ménage. Certains d’entre eux ont même travaillé pour des ministres!»
Ces travailleurs pourtant qualifiés n’arrivent pas à décrocher d’emploi faute d’équivalence de leurs diplômes et d’expérience québécoise. Les ordres professionnels sont très hermétiques au Canada, et les nouveaux résidents doivent reprendre le chemin de l’école pour exercer leur métier principal.
Très touchée par ces vies remises en question, Rachida décide de mener une enquête. Elle recueille le témoignage de migrants de toutes nationalités et s'en sert pour un deuxième roman. Le mirage canadien, publié en 2008, raconte l’histoire de Samia et Nabil, un couple de Marocains qui part s’installer au Québec.
Peu préparé à ce choc culturel, la famille se disloque peu à peu. Le père ne trouve pas de travail, la mère découvre une forme de liberté et les enfants sont livrés à eux-mêmes:
«Je voulais montrer aux Québécois que les migrants ne sont pas n’importe qui. Ils ont été sélectionnés. Ils laissent derrière eux leurs emplois et leur vie confortable. Il faut du courage.»
Cette histoire est aussi un guide à l’attention de tous ceux qui rêvent de l’aventure canadienne. «Il ne faut pas venir à l’aveuglette. C’est un peu comme une étude de marché», explique Rachida. «Il faut se renseigner sur ses objectifs et ses attentes. Il faut surtout avoir un plan B et être prêt à s’adapter en retournant aux études». Parmi les conseils les plus importants: venir au préalable quelques jours au Québec pour «tâter le terrain» et bien suivre les formations dès l’arrivée.
Une fois ces difficultés contournées, le mirage canadien peut très bien se transformer en miracle. Rachida n’a jamais regretté son choix: «Il y a une certaine qualité de vie au Canada et les gens sont gentils. On peut réaliser ses rêves ici».
L’écrivaine apprécie particulièrement la tolérance. Pour preuve, elle évoque une de ses collègues qui «porte un foulard, mais personne ne la juge. Au travail, on voit juste sa contribution et son professionnalisme». Un thème qu’elle va aborder dans son prochain ouvrage Regards croisés – Je me souviens. Cosigné avec Françoise Tremblay Saint-Gelais et Alexandra Imperiale, il s’agit d’une discussion entre trois femmes de religions différentes; une juive, une musulmane et une chrétienne.
Après dix années au Québec, l’écrivaine est aussi fière des possibilités offertes à ses enfants. Sa fille travaille pour l’une plus importantes banques du pays et ses deux fils étudient en architecture et en chimie.
Mais Rachida a surtout enfin trouvé son identité. Tiraillée entre ses différentes racines, elle est désormais sereine: «En France et au Maroc, je me sentais étrangère. Ici, je ne suis plus une immigrée. Je suis une canadienne d’origine marocaine et de culture française».
Stéphanie Trouillard
mercure- Nombre de messages : 154
Date d'inscription : 24/03/2009
Re: Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
Salam ,
Merci pour le partage .
Merci pour le partage .
rosa- Nombre de messages : 870
Age : 68
Date d'inscription : 05/09/2009
Re: Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
waw!! j'aimerai bien lire ses bouquins
houda1970- Nombre de messages : 103
Age : 54
Résidence : fes
Emploi : foctionnaire
Statut : depot de dossier 25/11/2010 AR 18/02/2011
Date d'inscription : 19/07/2010
Re: Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
Mais c est quoi cette mentalite de lecheuse de bottes? pourquoi elle cherche a ressembler tantot aux francaise tanto aux canadiennes
elle est marocaine et elle devrait en etre fiere partout ou elle va
Moi quand j etais au Quebec je m identifiais comme un marocain qui vient resider qu canada ni plus ni moins ... je ne cherche pas a changer ma peau ma religion ma mentalite ou mon identite culturelle
elle est marocaine et elle devrait en etre fiere partout ou elle va
Moi quand j etais au Quebec je m identifiais comme un marocain qui vient resider qu canada ni plus ni moins ... je ne cherche pas a changer ma peau ma religion ma mentalite ou mon identite culturelle
broly- Nombre de messages : 874
Age : 44
Résidence : Maroc/Quebec
Statut : Résident Permanent
Date d'inscription : 06/04/2007
akchour- Nombre de messages : 6
Age : 38
Résidence : rabat
Emploi : construction métallique
Date d'inscription : 30/12/2010
Re: Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
Message pour broly,
Il faut dire, après tout mon respect, que vous n'avez rien compris de l'histoire de Rachida M'Fadel.
Cessez donc de qualifier la mentalité des gens ainsi. Vous ne la connaissez pas. Relisez l'article est vous vous renderiez compte qu'au contraite elle a toujours revendiqué sa marocanité.
Au plaisir du partage!
Il faut dire, après tout mon respect, que vous n'avez rien compris de l'histoire de Rachida M'Fadel.
Cessez donc de qualifier la mentalité des gens ainsi. Vous ne la connaissez pas. Relisez l'article est vous vous renderiez compte qu'au contraite elle a toujours revendiqué sa marocanité.
Au plaisir du partage!
nuage- Nombre de messages : 194
Age : 49
Résidence : Montréal
Emploi : Professeur
Statut : RP
Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
bien dit mr nuage
j'allais commenter ce qu'il a dit mais vs l'avez fait .
merci à vs
j'allais commenter ce qu'il a dit mais vs l'avez fait .
merci à vs
houda1970- Nombre de messages : 103
Age : 54
Résidence : fes
Emploi : foctionnaire
Statut : depot de dossier 25/11/2010 AR 18/02/2011
Date d'inscription : 19/07/2010
Re: Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
j'ai lu son livre Allée simple, et je l'ai rencontrée au Villa des arts à casablanca,
son livre est un e belle histoire, famille marocaine qui venait s'installer à montreal, histoire choquante, mais c'est la réalité, sarayaaaaaaaaaaaaaaaaa tu dois lire ce bouquin, ca va te donner une idée sur ce que je dis sur ce forum
son livre est un e belle histoire, famille marocaine qui venait s'installer à montreal, histoire choquante, mais c'est la réalité, sarayaaaaaaaaaaaaaaaaa tu dois lire ce bouquin, ca va te donner une idée sur ce que je dis sur ce forum
ROD- Nombre de messages : 53
Age : 58
Résidence : CANADA
Statut : RESIDENT PERMANENT
Date d'inscription : 16/06/2011
Re: Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
Salam,
Et pourquoi pas? Je le lirai avec plaisir quand j'aurai le temps. Je suis en train d'en lire un autre pour le moment. Mais je le lirai uniquement pour me cultiver pas pour autre chose. Je pense que "Aller" s'écrit avec un R à la fin et non un E.
À+.
Et pourquoi pas? Je le lirai avec plaisir quand j'aurai le temps. Je suis en train d'en lire un autre pour le moment. Mais je le lirai uniquement pour me cultiver pas pour autre chose. Je pense que "Aller" s'écrit avec un R à la fin et non un E.
À+.
saraya- Nombre de messages : 1869
Résidence : Canada
Date d'inscription : 21/10/2008
clavier c'est tout
cherchons pas les petites choses c'est une erreur de frappe
ROD- Nombre de messages : 53
Age : 58
Résidence : CANADA
Statut : RESIDENT PERMANENT
Date d'inscription : 16/06/2011
Re: Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
Salam,
Ou une erreur de français .
À+.
Ou une erreur de français .
À+.
saraya- Nombre de messages : 1869
Résidence : Canada
Date d'inscription : 21/10/2008
ROD- Nombre de messages : 53
Age : 58
Résidence : CANADA
Statut : RESIDENT PERMANENT
Date d'inscription : 16/06/2011
Re: Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
Salam,
Allah ihdik hta nta.
À+.
Allah ihdik hta nta.
À+.
saraya- Nombre de messages : 1869
Résidence : Canada
Date d'inscription : 21/10/2008
Re: Rachida M'Faddel, entre mirage et miracle canadien
amiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnn
ROD- Nombre de messages : 53
Age : 58
Résidence : CANADA
Statut : RESIDENT PERMANENT
Date d'inscription : 16/06/2011
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