Fenêtre sur le Québec (13e ): trouver du travail 1ère partie

Bonsoir les amis,

J’ai envie de vous parler cette fois de la recherche de l’emploi au Québec.

Désolé si je vais être long mais c'est un sujet assez spéciale ..

C’est un sujet délicat, ou si vous voulez dire : le mouton noir de tous immigrants … normal car même si notre nouveau pays est beau avec plein d’espaces et de lacs, des gens chaleureux ce n’est pas avec cela qu’on mettre quelque choses dans mos marmites ou payer nos loyers ou nos frais de subsistance.

Voilà ce que j’ai vécu pour décrocher un travail :

Cela se passait en été 2004 :
Le téléphone sonne,..
pendant que je lisais la réponse dans ma boîte é-mail du refus de la Banque Nationale de la ville de St-hyacinthe; ... je décroche et répond.

C’était justement la Banque Nationale mais cette fois-ci de la ville de Joliette… une entrevue classique de 6 minutes puis invitation pour un face à face plus détaillé… comme quoi on ne sait pas ou le vent peut nous mener ni la chance quand va nous sourire..
Je suis allé pendant une journée pluvieuse (pas normal pour une saison d’été mais pensez que nous sommes à 2 pas des states et le passage des cyclone pour nos voisin du sud nous ramène des débris des fois).

L’entrevue était classique, après les présentations, et la remarque sur ce temps infernal, on discute de mes expériences, de mon profil académique, du pourquoi d’avoir choisi d’opter pour ce poste, mes qualités et faiblesses, puis en fin une sorte de mise en situation d’un cas et l’approche qui devrait se faire.. Généralement ça c’est passé très très très…….très bien..
Seulement voilà : le travail est bien sûre dans mon domaine, mais uniquement pour 2mois, et le nombre d’heure ne dépasse pas les 20heures..qui dit nombre d’heure minim dit un salaire minim qui ne dépasse pas les170,00$ par semaine..
Ahh autre chose pour mon diplôme on a exigé l’équivalence officiel (que je devrais faxer), et justement le salaire n’est pas en fonction de la tâche elle même mais en fonction de mon diplôme..
Et encore un truc lorsque la dame a su que j’étais résident permanent il y a eu un léger silence, ….
Elle a reprit en disant :
« nous allons voir ce qu’on peut faire, mais il n’y aura pas de problème » .
j’ai pu comprendre que je suis parmis les rares résidents permanents qui postule chez eux à Joliette, les autres sont soit canadiens d’origine ou nationalisés..

Bref, je me vois entrain de subir le coût de déménagement, du voyage, de l’achat de vêtement (pour la banque) …de chercher un nouveau logement et me contenter en plus d’un salaire qui plus ou moins me permettra de subsister..
Bon le dilemme est là : accepter un travail dans son domaine, temporaire, mal payé et se dire une expérience de plus, et 2mois plus tard retour à la case départ? …. Ou…. Accepter de continuer dans une jobine (qui paie mieux, car le nombre d’heures est presque le double), le temps de vraiment trouver le job tant convoité ?


ça n'a pas été la peine d'attendre le lendemain car j'ai reçu un é-mail, dont voici le contenu :

[i]Madame, Monsieur,
Nous vous remercions d'avoir soumis votre candidature pour le poste de S2V77 - Représentant(e), service à la clientèle / S1V77 (fonction évolutive) en affectation temporaire pour un minimum de 2 mois-CUS000IU. Après une étude attentive de votre dossier, nous avons le regret de vous informer que votre candidature n'a pas été retenue pour ce poste.
Nous conservons votre dossier dans notre base de données et vous informerons de toute possibilité d'emploi correspondant à votre profil si vous avez sélectionné cette option. Nous vous invitons à visiter régulièrement la section Carrières de notre site Internet et à soumettre de nouveau votre candidature pour les postes qui vous intéressent.
Nous vous remercions de votre intérêt envers la Banque Nationale du Canada et vous souhaitons le meilleur des succès dans votre vie professionnelle.
Salutations distinguées,
Le service des ressources humaines
Banque Nationale du Canada
Toute réponse au présent message est inutile et ne parviendrait pas au service des ressources humaines. Veuillez ne pas répondre.[/i]
J'ai appris dans ma vie de couper d'un coup sec toute frustration et me ressaisir la seconde qui suit, car "dans la vie il faut apprendre à recevoir les coups, et se dire Demain c'est un autre jour"

Quelques mois plus trad je me rendis à la ville de st-jérôme ..(remarqué que je ne suis pas resté les bras croisé à Montréal pour rechercher du travail) je suis venu car j'ai su que WAL-MART (un grand supermarché) embauche , alors on va là ou il y a des opportunités..
Je me suis réveillé à 5h30mn du mat, je m'habille, tiré à 4 épingles, je prends mon petit déjeuner café croissant, et je prends l'autocar à 7h.. j'arrive à 8h06mn... donc 1p’tite heure de trajet c'est pas loin....
Il fait un froid de canard , mais parrapport à ma visite à joliette ou il pleuvait interminablement, il y a eu un superbe soleil... hummm bon signe j'espère.. .

Le temps de trouver l'adresse et me voilà devant l'édifice.. il y a eu quand même une 50taine de personnes... j'attend comme tout le monde jusqu'à 11h .. je me sens glacé mais tant que la journée s'allonge tant que le soleil réchauffe ..

On nous fait monter par groupe de 30 personnes .. on assiste à une séance vidéo de l'histoire de WALMART, on applaudit tout en chantant le nom de la société.. , bref on se marre avant de passer au sérieux.
Après on remplis les formulaires,.. puis, muni de nos CV, on s'adresse à une personne pour l'entrevue...
Ça commence bien : nom , prénom, dernière société pour qui j'ai travaillé et ce que j’y faisait, puis voyant que j'ai postulé pour un poste de «stagiaire en gestion» (entrainement à la gestion).. elle s'excuse en me disant que malheureusement aujourd'hui c'est juste pour les gens du magasins : préposés, journaliers, caissières.. etc.
J'ai essayé d'expliqué qu'il a été indiqué que c'est aujourd'hui que les entrevues s'effectuent.. et que il n’a jamais été question d’annulation de quelques entrevues de quelque poste soit il, puis j’ai expliqué que je suis venu de MONTRÉAL et si vraiment y a pas moyen de passer aujourd'hui?... «navré !» , la gentille dame a expliqué qu'il faut que je passe mon entrevue avec un Gérant de magasin, et ils ne sont pas là aujourd'hui (bonjour le professionnalisme).. okay je n'ai pas le choix que d'attendre... j’ai quand même demandé d’avoir le no de tél, et le nom de la dame… à vrai dire cela ne servait à rien car plus tard om me passé d’un bureau à un autre sans réponse concrète ..


Vu la galère dans la quelle je me suis fourré je me suis dis que maintenant il est grand temps d’aller conquérir les agences de placements, et je vais vous parler de celle avec qui j’Ai eu une drôle d’histoire… alors voilà :

Tiré à 4 épingles je m’adressais l’agence de placement , je demande la «fameuse» Dame, on me dit qu’elle est entrain de dîner.. pas grave je reviendrais dans un ¼ d’heure… de retour, la secrétaire passa l’appeler...
«oui bonjour Mme YYY, mon nom est ZZZ… »
« enchanté Mr.ZZZ, d’habitude ça ne se passe pas comme ça, mais venais dans mon bureau »
« Croyez moi Mme je viens beaucoup plus pour un conseil, que pour une demande d’emploi »
nous nous dirigeons à son bureau, nous nous installons.. juste à titre de rappel, je l’ai relancé tellement de fois que mon cas est connu par cette dame..
«Que puis je faire pour vous servir? »
«Voilà Mme, j’ai envoyé un émail en date du 21 janvier, j’ai aussi envoyé mon CV par fax, je vous ai parlé au tél …donc j'ai utilisé tous les moyens de communications et y a toujours pas de réponses favorables.. euhhh juste une chose qui me tracasse,.. est ce que j’ai postulé un mauvais CV? plus précisément est ce qu’il y a quelque chose qui cloche dans mon CV ? » ahh ce que j’aurais voulu qu’elle me dise «oui.. il est pas bon» car si une responsable de recrutement (Québécoise) estime que mon CV n’est pas conforme aux normes (Québécoises), alors qu’il a été établi par une Responsable/Conseillère en Orientation pour l’emploi (Québécoise) payé pour ça par le gouvernement (Québécois) .. c’est que le marché de travail Québécois cloche quelque part…
mais elle a répondu : «Pas forcément, nous recevons des tas de demandes et de CV, qu’il faut un délais pour la réponse»
«Bien Mme,.. mais je connais des gens issue de mon même domaine, qui ont postulé 2 mois après que j’ai pu le faire, et ils ont été appelé par votre bureau.. es ce une question de chance par hasard? Ou peut être que mon CV n’a pas vraiment aboutit dans vos mains?»
je cherchais absolument à savoir si nos CV tombent dans les bonnes mains , ou leur destinations est la corbeille ..
«Là je ne peux répondre précisément mais chaque cas est traité à part, peut être avez-vous postulé pour un poste élevé par rapport à ce que nous demandons et que les autres ont postulé pour des postes moindre que leur profils »..
«là Mme permettez moi de vous dire que je vous ai bien préciser (au tél) que je cherche une porte d’entrée dans le domaine, car l’essentiel pour moi c’est de montrer ce que je sais faire et de gravir l’échelon petit à petit» .. là je la voyais me fixant du regard essayant de chercher une sorte d’issue de secours, je lisait sur son visage une expression du genre (bah je sais pas quoi lui répondre , en tous cas c’est comme ça.. tiens je sais même pas si j’ai lu son CV, ou pas?)…afin de passer rapidement au concret je lui demanda :
« d’ailleurs je crois que étant donné que nous sommes en plein saison des congés, l’offre sera forte par rapport à la demande »
« Oui mais n’oubliez pas Mr que c’est aussi la pleine saison des étudiants qui sortent fraîchement diplômés du cégep et justement on leur cherche des stages »
alors là je tire mon chapeau ..ou êtes-vous les responsables d’emploi de mon pays pour écouter ceci.. nous qui souffrait pour avoir un stage et qu’on nous répondait (bah vous êtes étudiants sans expériences on préfère les gens avec de l’expériences ..)
« C’est une bonne initiative Mme, j’apprécie… mais ne pensez vous pas qu’une personne ayant 4 ans d’expériences dans le domaine, encore frais avec son expérience, vaut mieux qu’un étudiant encore frais avec son diplôme? » au fait je n’ai rien contre les étudiants ils ont aussi leur chances à saisir mais je devais savoir..
la réponse était courte et non convaincante :
«Oui mais on appelle ceux qui on déjà eu un stage à la société en question, donc déjà expérimenté»
Non mais quelle réponse. . bon finissons en, mon objectif principal était de savoir si mon CV a été lu ou jeté à la corbeille..
«une dernière chose Mme, puis je me permettre de vous donner mon CV et ma lettre de motivation (pour la nième fois) afin de m’y apporter vos conseils?»
« Oui bien sure…Ah tiens ce CV je l’ai lu, ..oui je l’ai lu, la forme utilisée m’est familière.. » ça se peuy qu’elle essaie de me larguer mais continuons la découverte.
« Alors parfais Mme, donc vous pensez qu’il est bien? »
« Oui je peux dire que je ne vois pas de lacunes, je dirais même que je l’ai classé avec ceux-là.. » je vois une sorte de liste d’attente.. donc j’ai eu ce que je voulais.. je me mis debout et je lui ai tendu la main :
« Mme YYY, merci de m’avoir accorder ces quelques minutes de votre temps précieux, et au plaisir de vous revoir, (et avec un sourire un peu trop commercial j’ajoutais) pour une éventuelle entrevue »
je quittais, mais je n’ai pas oublié en sortant, de remercier la secrétaire avec son prénom .. oui j’ai appris qu’elles peuvent parfois donner bonne impression, donc y a pas de mal de la remercier et de lui souhaiter une bonne fin de journée.

Mais je ne m’arrêtais pas là. Directement à Adecco puis Manpower et enfin une 4ième agence .. à chaque fois je ne sortais qu’avec le nom du responsable qui étudiera mon CV.. pour que les semaines suivantes je puisse faire les relances.



Revenons maintenant à ma toute première expérience québécoise …au call-center .. après 2 mois et demi de mon arrivé :

En arrivant il y avait une quinzaine de personnes des québecois, un pakistanais, un hindoux un romain, et trois africains... une salle, un petit aperçue de la société, des entrevues personnalisées, un dernier appel dans une salle de leur DRH , quelques paperasses à signer et hop voilà : lundi prochain je commence une formation de 3 semaines , avant de débuter effectivement dans mon nouveau poste d'agent contact clientèle .
pour l'entretien il s'est déroulé normalement , mais il y a eu 3 questions que (je dois l'avouer m'on été facile à répondre grâce à ma préparation à l'immigration et au forum) je ne m'y attendais pas :
* Citez moi les quelques provinces du Canada, par exemple ceux de l'Est ...
bein ma parole je les ai toutes citées et même en ordre
* En partant de la ville de MOntréal, je vais vous citer une direction (NORD, SUD, EST, OUEST) et vous me citer une ou plusieurs villes .
la géographie c'est une de mes passions , donc aucune erreurs , j'en ai cité 3 ou 4 par régions .
* elle m'a donné une feuille ou il est dessiné un ordinateur avec clavier, et il y avait des flèches indiquant qlq touches du clavier ( E,G,D,B etc etc ..) puis en bas il est écrit , Barre d'espacement, ALT, TAB , Escape... le but est d'écrire près de chaque touche la lettre correspondante...
disons qu'ils testent votre degrés de connaissance du PC.. alors là ils sont bien tombé sur le gars qu'ils recherchent ..
Une toute petit chose que je n'ai pas trop apprécié, mais qui tout de même faisait partie de se qui m'attendais : ce n'est pas bien payé .

En tous cas ce n'est qu'une petite porte d'entrée dans le monde du travail au Québec , même si j'aurais des mois un peu serré, je serrerai la ceinture .. quoi !
soyons positif (même si le ventre sera vide) et pas de pessimisme…

à suivre >>>

merci kabi

Salut Kabi,

Je lis avec grande attention desomais ce que nous pourons appeler "Kabi chronique", O Combien interessante parcequ'il y a du notre à chaque lecture, on se projette, on s'"extrapole", on s'identifie à toi Kabi, tout en corrigeant ce qu'il y a à corriger, mais comme tu l'as dit plusieurs fois, chaque cas est un cas à part ... seuleument voila ce qui me chifonne dans cette histoire, c'est qu'en regardant ton parcours, voila l'impression que j'ai (Excuse moi il se peut que je me trompe !):
- kabi est un garçon plein de volonté, trés intelligent, perseverant, d'un niveau intellectuel interessant, certainement ayant un background (diplomes, expériences...) interessant, mais qui me parait n'ayant pas vraiment trouvé chaussure à son pied, en terme de vie professionnelle, sociale, ...., au canada, pour moi Kabi, tu mérites nettement mieux. quand je vois (et ceci à travers tes récits), la galère de trouver un job, l'appart, les copins, copines..., cela m'envoie à réfléchir doublement en ce qui m'attend et attends tous ce beau monde qui rêve d'une vie dans l'audelà (Za3ma Canada). Je me vois, moi par exemple (excusez mon comportement ostentatoire), avec mes 15 annèes de manager, mes 2 certifications internationales (nous sommes moins d'une vingtaine à l'avoir au maroc), mon diplome, expérience, engagement associatif.... (excusez le show SVP), en train de galérer un jour, pour porstuler à des jobines de ce genre ! sincèrement c'est le suicide !!!! (ceci dit mon objectif est déjà visé !). Je ne sais pas pourquoi je te racontes tous ça, mais je te le dis quand même, j'espère que le temps nous donnera raison d'avoir choisi le grand Saut !

Kabi t'es fort, vas y, continue ! tu m'impressionne chaque fois !

Bonne réflexion Hope

pourquoi le saut ?

"c'est une question que je me pose toujours"

Merci KABI pour avoir partager avec nous vos expériences ce qui concerne la recherche d'un emploi et ca m'aide beeaucoup pour faire une strategie avant meme que je sois sur place.

Merci encore une fois

Kabi c'est très intéressant

J’ai des questions si vous permettez :

- le rôle des agents (ou conseillers) d’orientation en emploi ?
- ils sont à la charge du candidat ou de l’état ?
- le rôle des CLE et CRE pour aider les immigrés à trouver de l’emploi ?
je parle du concret sur le terrain et pas de ce qu’on trouve sur internet .

merci d’avance

knadienment
Taurus

Merci Kabi,
Votre derniere chronique est tres tres interessante, !!!!!!!!!;
J'espere encore que vous nous racontez d'autres expriences et en detail comme vous le ferez tjrs.
Merci
Abderazzak

Salam kabi,

Impressionnant ton récit, passionnant aussi, et je me sens que tu y as mis tout ton coeur: spontané et sincère,

Merci beaucoup, ALLAH Ikhlike Lina,

Cordialement,
Noureddine

Merci cher kabi,

On peux pas lire vos chroniques sans être enthousiaste.
Je rejoind mon ami taurus pour poser les mêmes questions, car d'après l'ensemble de votre experience au Québec et l'experience d'autre immigrés, ces agences n'ont pas vraiment un rôle détérminant dans la recherche d'emploi, chaqu'un compte sur soi même et personne ne fera à notre place.

Amicalement,

Bonsoir,
Moi aussi je trouve tout un plaisir de vous lire les amis, …


Hope Posté le: Lun 3 Avr à 10:08
kabi est un garçon plein de volonté, trés intelligent, perseverant, d'un niveau intellectuel interessant, certainement ayant un background (diplomes, expériences...) interessant ……………mais qui me parait n'ayant pas vraiment trouvé chaussure à son pied, en terme de vie professionnelle, sociale.

merci mon cher c’est gentil… je ne suis pas à 100% tout cela, mais en partie alhamdoulillah.

Ce que je dirais c’est que oui on a beau être «plein de volonté, très intelligent, persévérant, d'un niveau intellectuel intéressant», j’ajouterais , perspicace avec un bon savoir-faire et savoir–être … diplômé, avec de très intéressantes expériences mais … primo ces diplômes et expériences restent étrangers à l’esprit des employeurs Québécois (exemple tu as une importante expérience en gestion commerciale mais tu as celles-ci avec les consommateurs de TON PAYS pas avec le consommateur Nord-Américain … ou tu es fiscaliste mais la fiscalité de TON pays n’est pas, le moindre du monde, similaire à celle du Québec ni du Canada)…. Secondo, tu dois ajouter à toutes ces qualités le fait que tu es Étranger, d’une culture différente, nouveau, sans historique (et je cite bien.. Historique Québécois : diplôme + expérience+ référence…) donc avec le temps et suite à certains évènements, la recherche et la trouvaille du fameux emploi est devenu difficile Mais pas impossible .

D’ailleurs si tu as bien remarqué lors de ma chronique j’ai bien stipulé : «1ère partie» … je te laisserais savourer la 2ième partie ce Dimanche tu comprendras pourquoi .


«en train de galérer un jour, pour postuler à des jobines de ce genre ! sincèrement c'est le suicide»

Tu sais mon ami je connais pas mal de cas dans lesquels grâce à ses jobines il y a eu des circonstances qui ont aidé à avoir un emploi, plus tard, dans le domaine (exemple un collègue qui travaillait avec toi mais sortit et hop il t’appelle pour postuler dans la nouvelle société avec qui il travaille,… un client de cette jobine que tu rencontres après être sorti de celle-ci et qui a pensé à toi pour un nouveau job presque dans ton domaine ….etc ).
La devise est «commencer petit et voir Grand ! »


«Je ne sais pas pourquoi je te racontes tous ça, mais je te le dis quand même,»

Je crois pour la même raison que moi aussi je raconte tout cela à vous, cette envie au fond de vouloir partager un truc qui nous tiens tous …. J’ignore exactement ce que c’est mais moi aussi je le dis quand même

Thht, Posté le: Lun 3 Avr à 10:28
pourquoi le saut ?
"c'est une question que je me pose toujours"

Je pense que le fait de faire tout le trajet du Maroc au Canada et surtout de casser toute une routine et en commencer une autre .. ou juste le fait de se voir changer carrément de vie donne cette impression que c’est un SAUT … mais vraiment un SAUT extraordinaire.



TAIRUS Posté le: Lun 3 Avr à 17:53

J’ai des questions si vous permettez :
hey mon frère Au fait retire ce mot VOUS et dis moi juste Tu , mon frère …. Je suis juste un frère comme toi


- le rôle des agents (ou conseillers) d’orientation en emploi ?
- ils sont à la charge du candidat ou de l’état ?
- le rôle des CLE et CRE pour aider les immigrés à trouver de l’emploi ?
je parle du concret sur le terrain et pas de ce qu’on trouve sur internet.

ce que je peux te dire c'est que l’agent se chargera d'évaluer ton dossier, analyse tes expériences , diplomes et champs d’intérêts ainsi que tes objectifs professionnels et tes compétences dans la matière le tout soit pour :

* Te guider vers les offres d’emplois Adéquates (je reviendrais sur ce mot de adéquat)
* Te diriger vers une formation adéquate, après t’avoir référer à un conseiller en orientation.
* T’envoyer à un Programme d'apprentissage en milieu de travail.
* T’offrir une subvention pour une immersion professionnelle.

Bon en principe telles sont les principales taches.. sauf que ..
(Je te cite là selon l’Expérience de certains) on a tendance à voir l’agent t’orienter selon les besoins du marché et en fonction du budgets alloué à cet organisme.. je ne dis pas qu’il te font fausse route mais c’est selon la situation et selon ton cas :
Un père de famille avec enfants immigrants depuis 2 ans sans ressources se verra offrir rapidement une formation gratuite alors qu’un célibataire ayant débarqué depuis 6 mois ne l’aura pas aussi facilement ou ne l’aura pas pantoute …

La principale activité c’est d’«assister à des séances d’information sur le marché du travail; recevoir des conseils d’orientation et de choix de carrière; participer à des activités d’aide à la recherche d’emploi (du type club de recherche d’emploi) et à des activités d’aide au placement. »


Certains agents te suggèrent de commencer dans le domaine du commerce (le plus répandu sur le marché) tels les «préposés à la clientèle» (ça peut être l’appellation du gars qui stocke les produits dans le supermarché .. ce n’est pas hchouma bien sure ) alors que tu as occupé des postes de chefs de produits au Maroc… mais disons qu’il t’offre un quelque chose qui est là .. disponible le temps de revoir peut etre ton orientation académique ou même professionnelle… etc..

Certains aussi vont te proposer d’ouvrir ta petite affaire si jamais il s’avère que tu as un solide background et expérience du tonnerre et qu’il y a une demande sur le marché pour ton affaire.

Les plus chanceux se verront offrir la fameuse «subvention pour l’immersion professionnelle».. un programme d’aide financière tout en travaillant : Emploi-Québec paie la moitié et ton employeur la moitié :

Cela arrange les 3 parties :
* Empoi-Québec : car en fin d’année ils doivent montrer qu’ils ont pu aider ls gens à travailler et du coup le gouvernement continue à les financer .
* ton employeur car pour le même travail il ne te paie que la moiti. : c’est 50% de réduction des charges.
* et bien sur pour toi-même le futur employé car du coup tu as un travail et tu as un bon salaire .


J’ai même entendu parler d’un certains programme réservé pour les personnes qui n’ont jamais occupé un emploi dans leur métier ou leur profession au Québec ayant la résidence permanente et appartenant à une minorité visible

PRIIME : Programme d’aide à l’intégration des immigrants et des minorités visibles en emploi, offert par Emploi-Québec en étroite collaboration avec le ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles et avec Investissement Québec
Une fois qu’on y est admis au programme le futur employeur pourrait profiter d’une aide financière pouvant couvrir :
1. Une partie de votre salaire (à l’exclusion des avantages sociaux), pendant une période maximale de 30 semaines, pour vous permettre d’acquérir une expérience en milieu de travail.
2. Le salaire qu’il versera à la personne chargée de vous accompagner pendant les 13 premières semaines, jusqu’à concurrence de 60 heures.
3. La mise en place d’activités particulières ou l’adaptation de ses outils de gestion des ressources humaines.
4. Les dépenses engagées directement pour vous former et pour adapter vos compétences au contexte de travail nord-américain, jusqu’à un maximum de 60 heures de formation.

Je ne peux dire plus sur ce PRIME , je ne connais pas tous les aspects mais je dirais d’avantage sur la subvention de l’immersion professionnelle … euhhhh hey mais je vais tout dire de ma prochaine chronique dit donc .. bon il me restera rien alors …

Bon juste un conseil :
Ce neEst pas parceque c’est un agent d’aide aux immigrant ou de Emploi-Québec qu’il faut lui laisser la maneouvre : poussez les un peu mais pas beaucoup, montrez que vous voulez travaillez pas rester à la ligne , démontrez le coté professionnelle de votre style de vie : un planing , agenda, fixer avec lui le délais que cela prendera pour que vous puissez en fin de compte travailler car pour les avoir eux ils vous diront souvent . : «euhhh not prochain rendez–vous dans 3 semaines !»
« Ahh non mon grand je ne vas pas commencer à travailler à noel prochain… je dois travailler moi… alors qu’on en finisse dans 2 ou 3 jours »
Bref l’essentiel ne vous laisser pas trop «emmener en bateau», mais allez y avec tact et délicatesse car eux aussi n’ont pas la baguette magique pour le travail.


Allez je dois allez préparer mon souper .. à plus

Merci mon frere kabi

a atoute

Kabi mon ami j'ai un message trés important que j'ai retenu, il faut toujours persister pour réussir, optimiste, et comme tu le dit vrai commencer petit et voir grand, c'est mon principe et ma façon de vivre,

Bjr Tlmde,

KABI:

A Sahbi wemmah ma 3andi ma ntssalek, tu prends le temps de répondre à tous le monde

Bravo et @+

allah erham man karak a khay kabi


merci

salam Mr KABI
J'ai lu tes chroniques et je vous trouve un site qui nous mène à enrichir nos connaissances et dire q'on ne sait rien vraiment, reste à vous dire bravo Monsieur et merci mon ami.
nafa

merci Kabi c'est trèèèèèèèèèès intéressant et enrichissant cette épisode sur l'emploi et l'orientation.
de ma part j'ai trouvé quelques témoignages et conseils dans le même sujet.


par Jacques Trentesaux
Un guide complet pour relancer sa vie professionnelle, évoluer dans son entreprise ou changer de job


Certaines rencontres marquent une vie. Pour Eric Davin, Rodolphe Baudeau et Emmanuel de Dinechin, ce fut en août 1999 à Lhassa, la capitale du Tibet. «Eric et moi étions en train de réaliser à pied le trajet Paris-Pékin, se souvient Rodolphe Baudeau. Emmanuel, lui, effectuait une traversée de l'Asie.» Du croisement de ces trois cerveaux bien faits (deux diplômés d'HEC, un de l'Essec) naquit Altai Consulting: une société afghane située à Kaboul, qui compte aujourd'hui… 115 salariés (dont 90 Afghans). Sa mission? Faciliter le travail des organisations internationales et aider les investisseurs étrangers à s'implanter en Afghanistan. Le plus étrange de l'histoire est que ces trois globe-trotteurs à peine trentenaires ont quitté des jobs en or (chez L'Oréal, Pechiney ou Monitor, un cabinet anglo-saxon de conseil en stratégie) pour tenter l'aventure. Un choix de carrière plutôt culotté!

Sommaire :
1. Mettez-vous au clair avec vous-même
2. Ouvrez-vous de nouveaux horizons
3. Passez à l'offensive

Leur exemple est, certes, extrême. Mais il a un puissant mérite: montrer que tout est possible. «Il faut juste prendre le temps nécessaire pour bien comprendre l'environnement et avancer de façon raisonnée», précise Rodolphe, qui a investi - comme ses deux associés - 20 000 dollars pour lancer l'entreprise. Quand il parle d'Altai Consulting autour de lui, Rodolphe sent souvent naître une pointe d'envie chez ses interlocuteurs. «Beaucoup se disent: "Pourquoi pas moi?'' D'ailleurs, nous avons convaincu 25 expatriés du monde entier, tous issus d'universités ou d'écoles prestigieuses, de nous rejoindre…»

Pourquoi pas moi? Cette seule interpellation justifie le dossier que L'Express vous propose cette semaine. Bien sûr, tout le monde n'est pas destiné à s'installer au bout du monde pour créer son entreprise. Mais chacun d'entre nous peut - et doit plus que jamais - se réinterroger en permanence sur sa vie professionnelle. Où en suis-je de ma carrière? Comment sortir de cette insatisfaction sournoise qui parfois me noue le ventre sur le chemin du bureau? Comment m'épanouir davantage au travail? Dois-je changer de boîte? Et, si oui, quand faut-il que je le fasse?

Ces questions de fond, souvent éludées en raison de la course folle dont nous nous plaignons tous, sont d'autant plus fondamentales que nous vivons dans une économie qui a fait de l'em-plo-ya-bi-li-té (horrible néologisme!) sa vertu cardinale. Selon cette règle, il nous revient de demeurer en phase avec les exigences du marché et celles des employeurs. A nous de rester performants, efficaces, créatifs… et le sourire aux lèvres. L'entreprise, elle, ne joue plus autant qu'autrefois un rôle de protection contre les aléas économiques et sociaux. Les chiffres le montrent: le risque de perdre, un jour, son emploi n'a cessé de croître au fil des ans. Quelle que soit la catégorie considérée. L' «obsolescence professionnelle» nous guette. Gare à vous si vous n'êtes pas bilingue français-anglais, familier des nouvelles technologies ou doué pour les relations humaines! L'Homo economicus doit être parfait. D'où, sans doute, cette souffrance et ce stress au travail, nouvelles maladies du siècle…

Notre ambition n'est évidemment pas de vous rendre parfait, mais - si possible - plus heureux. Pour y parvenir, rien de tel qu'un check-up général de sa vie professionnelle. D'où les trois temps de notre dossier: 1. Mettez-vous au clair avec vous-même; 2. Ouvrez-vous de nouveaux horizons; 3. Passez à l'offensive! L'objectif n'est pas de vous faire ingurgiter un remède survitaminé… plutôt de vous donner quelques repères simples pour prendre votre carrière en main. Suivez le guide.

2. Ouvrez-vous de nouveaux horizons
par Jacques Trentesaux
Formation, engagement personnel, projet de reconversion... tout est bon pour aller de l'avant


Gervais Izel est le prototype du salarié volontaire. Cet agent hospitalier de 33 ans n'a pas hésité à solliciter un prêt bancaire et à quitter sa Bretagne natale pour Toulouse afin de suivre une formation d'un an de documentaliste d'entreprise (lire son portrait). Belle motivation! Et belle illustration d'une logique nouvelle qui conduit peu à peu le salarié à devenir le principal acteur de sa vie professionnelle.

On ne le dit pas assez: l'une des principales évolutions induites par la loi du 4 mai 2004 sur la formation professionnelle réside dans ce changement d'approche. Jusqu'à présent, le salarié était avant tout consommateur de la formation que l'entreprise voulait bien lui accorder. Désormais, il devient aussi un client qui, à terme, fera lui-même son marché auprès des organismes de formation. «Aujourd'hui, 10 millions de Français se forment chaque année. Dans dix ans, ils seront le double», pronostique Jean Wemaëre, président de la Fédération de la formation professionnelle.

Source:
www.lexpress.fr

Knadienment
Taurus

Merci taurus

Comme d'habitude, c'est toujours un plaisir de vous lire a si kabi. je n'aime pas lire "à suivre" on voulais rester brancher et vivre avec tes expériences. On dirais un film captivant qui se défile entre nos yeux et c'est vrai tout ce qui vient du coeur touche de plus près les coeurs encore une fois

Eh notre éclaireur kabi
allah ikhlik lina wo safi .

Spécial carrières (la suite)

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l'embarras du choix• Les clics de l'e-learning• Peaufinez votre projet• Psymania• Engagez-vous

Pierre angulaire de la réforme, le droit individuel à la formation (DIF) offre à chaque salarié un capital formation de 20 heures par an (cumulables pendant six ans) qu'il pourra utiliser à sa guise... hors de son temps de travail. Plus actif, le salarié devient aussi plus responsable. C'est une chance; c'est aussi un risque, puisqu'il pourra lui être reproché de ne pas avoir su assurer son «employabilité». Le DIF pose aussi la question de l'appétit des Français pour la formation. Une caractéristique très inégalement répartie - les plus diplômés sont les plus friands de cursus complémentaires - qui s'accentuera si l'on n'y prend pas garde.

Le concept de «formation tout au long de la vie» a beau n'en être qu'à ses balbutiements, les témoins que L'Express a rencontrés n'ont pas attendu pour aller de l'avant. Soit en retournant sur les bancs de l'école; soit en tirant parti de tous les congés prévus par les textes pour «aérer» leur carrière; soit en peaufinant le projet de reconversion qui les taraudait de longue date. Personne ne semble le regretter. Pas même Gervais Izel, en passe de remporter son pari. Alors, pourquoi pas vous?

Formation
L'embarras du choix
par Marie Cousin
Quel cursus, pour quoi faire? Mobilité interne ou reconversion? Les questions à se poser

Nouveau leitmotiv du salarié moderne, le «retour à l'école» s'impose de plus en plus comme une nécessité afin de rester dans la course. Reste à savoir quel type de formation choisir. L'éventail est large: cours du soir, formation longue à plein-temps, formation à distance ou mixte (qui mêle e-learning et cours classiques)... A moins de bénéficier d'un congé individuel de formation (CIF), de posséder une fortune personnelle ou d'avoir souscrit un emprunt bancaire, consacrer une année à une formation est un pari risqué. En revanche, cela simplifie l'emploi du temps. Car mener de front formation, boulot et vie privée exige une solide organisation.

Sommaire• «J'ai changé de métier sans quitter mon employeur» • «J'ai investi 17 000 € pour me reconvertir» • «J'ai convaincu mon patron de financer mes cours»• «J'ai emprunté pour reprendre des études»

Si vous envisagez de rester dans la même entreprise, démontrez à votre employeur que votre demande correspond à ses besoins afin qu'elle trouve place dans ses investissements obligatoires (plan de formation). A vous, ensuite, de négocier les modalités de prise en charge: coût de la formation, frais de déplacement et de logement, hors temps de travail ou non. En revanche, si vous visez un nouveau job ou que vous souhaitez suivre une formation longue à plein-temps, pensez au CIF en déposant un dossier auprès du Fongecif (www.fongecif.com). Votre formation sera financée et votre salaire maintenu pendant un maximum de douze mois.

Choisir une formation diplômante ou qualifiante?
La première, validée par un diplôme officiel, est recommandée pour ceux qui cherchent une mobilité externe ou transversale. La seconde a pour but d'acquérir une qualification définie dans une convention collective, ce qui limite sa reconnaissance à la branche professionnelle concernée.

Renseignez-vous!
Internet constitue la principale source d'information: les organismes de formation - privés comme publics - ont presque tous mis en ligne leurs programmes. Vous pouvez également vous adresser au Centre Inffo, centre de développement de l'information sur la formation permanente (www.centre-inffo.fr). Enfin, les Opacif, organismes paritaires collecteurs agréés, mettent à votre disposition des consultants, qui vous informeront sur vos droits.

Le droit individuel à la formation (DIF)
A compter du printemps 2005, chaque salarié du privé bénéficiera de 20 heures de formation par an, cumulables sur six ans. La formation se déroulera hors temps de travail, sauf accord d'entreprise spécifique. Vous toucherez une allocation équivalant à 50% de votre salaire. L'accord de l'employeur est nécessaire: il peut refuser deux fois. Ensuite, vous devenez prioritaire pour obtenir un CIF.

L'Express a testé
Les clics de l'e-learning
par Marie Cousin
Pour se perfectionner en anglais via Internet, prière d'être très motivé

Et si vous demandiez à votre entreprise de suivre des cours en e-learning? Cette formation à distance utilise les ressources du Web. Après un succès aussi rapide qu'éphémère à la fin des années 1990, elle était presque tombée dans la catégorie gadget. A tort? L'Express a testé une formation parmi les 2 000 heures de cours en ligne proposées par Demos: anglais, niveau «intermediate +». Objectif? Savoir se débrouiller en cas d'immersion chez nos voisins d'outre-Manche.

Première étape: accéder aux cours. Identifiant puis mot de passe: le programme de formation apparaît. Un clic sur le lien vers la présentation du programme et... c'est le bug! Le système de sécurité de l'ordinateur refuse d'ouvrir la page. Quelques réglages techniques plus tard, la page est accessible. Une voix présente - en français - les options du logiciel: les différents types d'exercices, la présence virtuelle d'un tuteur, le forum pour «chater» avec ses camarades «apprenants», la possibilité de suivre sa progression, sans oublier la reconnaissance vocale.

Mon poste n'étant pas équipé, je fais l'impasse sur cette technologie. Une chance pour mes collègues qui partagent le bureau! Première leçon des 12 programmées: «Window shopping». Version moderne des cassettes utilisées par les profs de collège, le dialogue «découverte» commence. Enchaînement direct avec des exercices de vocabulaire sous des formes plus ou moins ludiques, puis de la grammaire-conjugaison. La dictée est redoutable: oubliez un point et vous récolterez un zéro pointé! Rigueur britannique ou approximation du logiciel? La leçon dure près d'une heure. Pas question de s'accorder une pause récré, sinon la session se déconnecte.

L'aspect interactif des cours virtuels ne compense pas toujours le côté rébarbatif du clic sur l'écran. On en oublierait presque qu'il s'agit d'une langue vivante! En revanche, avec un peu d'autodiscipline, c'est une bonne méthode de révision des bases grammaticales. Les mordus de verbes irréguliers et autres bizarreries seront servis, car l'accès est illimité pendant un an. Un droit qui coûtera à votre employeur un minimum de 3 000 €. Conscient de ces limites, Demos mise davantage sur une solution mixte: la flexibilité de leçons virtuelles alliée à des cours traditionnels avec présence humaine. De quoi rassurer les profs d'anglais!

source:

www.lexpress.fr

Knadienment
Taurus

merci à tous..

merci aussi à Taurus... c'est intéressant comme analyse j'y vois certains aspects de ce qu'on peut découvrir ici . J'en parlerais d'avantage dans ma prochaine chronique.

à plus

Re,
Merci Bcq pour ta chronique, Bravo de nous citer ton expérience du fond de coeur, hafidaka allah
Sincèrement ce forum m'a rendu les choses très facile pour préparer mon entrevue , makayan ghir copie/coller et imprimer
Slts

Merci Taurus Merci tout le monde