Canada, aller simple

Salut tout le monde,
Hier soir, j'ai terminé la lecture de "Canada aller simple".Franchement pour ne rien vosu cacher, ça m'a incité à réfléchir encore 100 fois à ce projet d'immigration, mais en même temps je me suis dit il y a également des personnes qui ont réussi leur projet, il faut peut être avoir un bon mari comme le mien hhhhhhhh une bonne dose du courage, beaucoupe d'ambition et surtout avoir des gens positifs dans son entourage.
le livre m'a également permis de me familiariser avec des termes, habitudes, moeurs au Québec.J'ai des points que j'aimerais bien discuter avec vous, mais je dois partir maintenant.je serai de retour ce soir ou demain.
Bonne lecture aux autres.

je viens de terminer le livre, j'avoue que le trouve interessant comme récit, mais ce genre de livre donne envie de ne pas aller loin sur l'immigration , pour moi depuis que je l'ai lu je panique je l'avoue , peur de perdre ma famille et mes enfa,ts à l'exil,mais je tente ma chance et laisse dieu me faire voir mon destin avec mon mari et mes enfants

Je n ai pas encore lu le livre,mais il reste un livre parmi d autres qui relate une situation parmi d autres,la preuve c est que Mme Rachida M fadel siege toujours a l association des femmes ici au Canada,j aurai pense a un jugement si j ai eu l occasion de lire son parcours ou tout simplement son autobiographie.
Restez positifs.

salut,

L'histoire "canada aller simple" est comme d'autres qui sont reeles ou imaginaires certes, mais on ne peut jamais generliser, pour dire qu'on pourait avoir le meme destin que cette personnage,

je connais personnelement des gens qui ont reussi la ou d'autres ont echoué et retourné au bled soit du canada ou d'europe, donc pas la peine d'avoir peur de cet histoire et lui donner plus qu'elle merite,

comme a dit les gens avant, le projet d'immigration reste personnel et chacun a ses moyens pour faire face aux imprevus, faut foncé si on a decider de quitter le pays du sable et thé, pays dial kdi ou sallak, on a a changer de mentalité pour pouvoir débarquer dans l'enjeu canadien, rien n'est impossible.

bon courage

Salam chers érablistes

A vrai dire j'ai lu la moitié du livre et à mon avis toute personne ayant un projet d'immigration doit le lire juste pour savoir un autre coté de la vie au Canada mais entre nous, nous sommes bien prêts depuis que nous avons entamé la procédure d'immg de commencer de Zéro donc il y aura aucun probléme et pas la peine de faire une comparaison avec les personnages de l'histoire de ce livre
En revanche c'est une histoire qui reflète une réalité que n'importe qui et par tout dans le monde pourra vivre
Bonne lecture à vous tous

Bonjour,
A travers vos commentaire j'ai pu dénicher qu'il s'agit d'un livre autobiographique.
Je souhaite savoir comment peut on l'acquérir et c'est quoi l'intitulé du livre ?
Cordialement,

SALAM J'AI COMMENCE LES PREMIERES DEMARCHE ET J'AI ACCUSE DE RECEPTION R LE 15-2-2010
JE SUIS TECHNICIEN EN ELECTRECITE INDUSTREIL ET EN MEME TEMPS AYANT PIRME DE CONDUIRE CATEGORIE B-C-D-E POUR JE VEUX CHANGER MES PIRMES POUR FAIRE TRANSPORT INTERNATIONAL QQ PEUX M'AIDER

wé !!!! je confirme

Un grand Bonjour à tout le monde, spécialement pour ceux qui me reconnaîtreront

Si je me manifeste aujourd’hui sur ce forum c’est pour contribuer de ma part modestement au partage d’une rencontre qui m’a marquée celle de l’Auteur vous devinez !!!!!

J’ai eu vent de ce livre à travers un petit post paru sur le journal Aujourd’hui le Maroc, je tenais tant à assister à la présentation du livre, pas pour en apprendre d’avantage mais pour approcher l’auteur du livre Mme M'fadel Rachida.

La première présentation était programmée le 16 Février à la villa des Arts sur CASA, étant sur Rabat j’ai pas eu la chance d’y assister, j’en ai gardée une petite

Frustration, cette dernière a été comblée par une nouvelle présentation du livre qui a été tenue hier à l’école HEM RABAT.

J’y ai assisté en compagnie de mon mari, on était les seuls adultes au sein de la salle de conférences, les sièges étaient occupées par les D’jeunes de l’école HEM

A les entendre parler à haute voix s’amusant, hurlant riant à en perdre le souffle j’ai été nostalgiquement projetée dans ma période d’études, pendant qu’ils étaient plongés dans leur éclats de rire , je me sentais renfermée dans une bulle , je leur enviais leur désintérêt, ces jeunes étaient présents par curiosité ,de ma part par fatalité, car je cherchais des réponses à de multiples questions qui s’entrechoquent dans ma tête…

En parcourant des yeux la lecture de ce roman, je faisais une lecture perpendiculaire en suivant l’ordre chronologique du déroulement des événements et des fois en trichant une lecture horizontale pour connaître la suite rapidement tellement frappée par le sort de cette famille une fois au canada …

Une longue attente avant la parution du visage de l’auteur je la cherchais du regard parmi les personnes rentrées dans l’amphi que j’en perdis la faculté de la reconnaître, je me suis retrouvée entrain de fixer sa photo au dos du livre et à chercher son sosie en réalité...elle fût reçue par un accueil trop chaleureux des D’jeunes ce fût trop émouvant , cette joie de vivre de ces jeunes l’a perturbée…l’apport de ce livre pour eux était comme une sonnette d’alarme pour ne pas tomber dans le piège de ce qu’on appelle le Mirage de l’immigration la face voilée de la vrai vie une fois là bas pas seulement au canada mais une fois on met pieds en dehors du Bled.

Elle fût accompagnée par un Professeur enseignant au sein de l’institut HEM , il s’occupa de l’exposition du résumé du livre , de temps en temps elle acquiesçait de la tête pour partager ses opinions…

J’étais placée à côté de mon mari en devant de la scène je la sentais trop proche et Enfin elle parla, elle commença par des remerciements, moi j’étais en ébullition j’attendais l’ouverture du débat pour poser mes insatiables questions….

L’auteur Mme M’FADEL RACHIDA commença par se partager un peu son parcours personnel, elle a quitté le maroc vers l’âge de 13 ans accompagné de sa famille vers une première immigration dont la terre d’accueil fût la France elle y fait ses études, à l’âge de 20 ans elle décida un retour imminent au MAROC pour se marier et enfanter au Maroc, son vœux se réalisa, en 2000 elle entama une seconde immigration cette fois ci vers le CANADA accompagnée de son mari et de ses enfants …

Pourquoi l’idée de ce livre pour dévoiler l’autre face de la dure réalité que rencontrant les immigrants toute nationalité confondue, des syriens, des libanais des algériens des marocains des haïtiens des polonais se reconnaîtront aisément à travers ce livre, des obstacles rencontrés une fois là bas…

Le débat fût ouvert par des questions timides que posaient ces étudiant fraichement diplômés, ils parlaient des équivalences des diplômes certains forcement envahit par le rêve des études supérieurs à entamer là bas…Dans cette salle imposante Mon mari en l’occurrence MOI étions les seuls réellement impliqués !!!

Mon mari prit la parole et exposa la jumulence de l’expérience de l’auteur avec la sienne du fait que lui aussi avait entamé une première immigration vers la France à l’âge de 13 ans , un retour au pays après presque 20 ans pour le même but mariage et installation définitive au Maroc, le retour ne fût pas fructifiant arnaqué par un français avec qui il était associé , et un CV qui fait fuir les cabinets de recrutement par une large expérience à l’échelle Internationale dans l’humanitaire , d’où l’option du CANADA qui surgit comme dernière carte à jouer , il est vrai que l’idée qu’on tire après lecture du ce livre LAISSER TOMBER ce projet ne même pas essayer sa propre expérience afin se forger sa propre opinion…

J’enchaîna derrière l’intervention de mon mari, je dis simplement la lecture de votre livre ne m’arrange guère en ce moment car je suis à un MOIS du grand départ INCHALLAH à cette terre d’accueil que vous dépeignez en TERRE non promise elle a éclaté en rire ….j’ai mis en hibernation ce projet pour des raisons personnelles mariage, rentrée définitive de mon mari au pays, une promotion au boulot…

Personnellement ce choix s’il aboutit c’est pour la progéniture, leur assurer un avenir d’une meilleure éducation.

Ma question était axée sur la réussite de l’auteur en cette terre de mirage, ayant vécu neuf ans là bas ayant écris ce livre, elle a relaté certes des personnages fictifs mais qui ont été côtoyé de prés ou de loin par l’auteur….pourquoi n’avoir pas parlé de réussite des gens qui s’y sont installés, elle était toute ouïe…

J’ai juste dit que ce projet d’immigration est un moule qui sied à chacun de nous , on ne peut pas faire de projection de l’expérience de XX ou XY sur une autre personne, que la vie est faite de rencontre , que les rêves sont faits pour en rêver, mais chacun a ses propres attentes, que ce grand pas à faire doit être mûrement réfléchis se fixer des objectifs et non aller pour l’ aventure car s’en est UNE, on ne part pas au canada pour devenir riches, que malheureusement les déceptions l’emportent sur les satisfactions personnelles, elle a évoqué le volet des ordres des ingénieurs et des médecins qui n’arrivent pas à exercer, ceux qui partent le savent déjà au préalable ils sont avertis…

J’ai exposé comme même le défilé des jeunes surdiplômés qui ont longés la grande Avenue Mohammed V , pas plus loin l’après midi d’hier et qui se sont fait tabassés comme des mules , à les voir hier j’ai pas sentis mes larmes couler sans faire l’effort , un spectacle qui donne des nausées et qui renforce ma détermination de tenter le CANADA afin d’éviter dans le Futur ça à ma progéniture , j’ai clos mon intervention par un souhait de ma part de lire un livre d’elle prochainement mais celui des réussites de personnes établis là bas pour ne pas couper l’espoir aux futurs immigrants qui veulent tenter leur chance d’un avenir meilleur pas pour eux mais pour leurs enfants.




Bon courage pour tout le monde.

Bonne fête EID AL MAWLID

Merci Mme Mercedes pour votre récit, et je suis tout à fait d'accord avec vous, le canada peut etre un pays de "reve mirage" mais il faut pas se laisser influencer par les experiences des autres, parceque là ou quelques un ont echoués, d'autres ont réussi. A un mois du début de votre aventure je vous souhaite une experience couronnée par la réussite et l'epanouissement.

Merci Fayrouz

Un passage que j'ai omis de mentionner...

L’auteur Mme M’FADEL RACHIDA commença par partager un peu son parcours personnel, elle a quitté le maroc vers l’âge de 13 ans accompagné de sa famille vers une première immigration dont la terre d’accueil fût la France elle y fait ses études, à l’âge de 20 ans elle décida un retour imminent au MAROC pour se marier et enfanter au Maroc, son vœux se réalisa, en 2000 elle entama une seconde immigration cette fois ci vers le CANADA accompagnée de son mari et de ses enfants ce fût un succés pour elle certes le parcours était parsemé d'embûches néanmoins elle a réussit ELLE...

Elle attribue sa réussite à des rencontres de bonnes personnes une Haitienne qui l'a aidée...un message véhiculé de sa part il faut pas tomber dans le piège de se confiner dans la communauté marocaine et restreindre ses connaissances qu'à ses confrères , autre détail toucher le BS est un piège car ça fait des personnes des gens assistés...

Bon courage à TOUS

Bonjour mercedes ,

Je vous remercie pour ton recit et ton initiative de chercher la vérité , oui vous etiez seule à la salle de conférence mais vous nous representez tous , et la question qui se pose : pourquoi ce nombre massif de conférences concernant ce roman , alors qu'on n'a pas fait ça avec d'autres auteurs ?

Assalam

Je vous remercie Mr Laroui ,pour ma part j'avais une autre question que j'ai manquée de lui poser pourquoipersonne avant elle n'a pris la peine de relater la vrai vie au CANADA que ça soit des exemples d'echec ou de réussite...

Son but n'est pas de dissuader les gens à ne pas y aller mais de dire que ce n'est le grand eldorado surtout ceux qui bradent tous leurs affaires pour s'y installer là bas n'empêche cette expérience demeurre unique au cas par cas

je n'ai pas encore lu le livre
mais je me demande est ce qu'il parle juste de la vie sociale au canada entre mari et femme et les problemes qui en resultent
ou bien il parle de la difficulté de vivre convenablement au canada coté economique
car les pbs de couples ca existent bcp dans notre cher pays et si on avait juste la moitié de liberté qu'on trouve au canada vous auriez vu bcp de divorces ici ajoutons a ca aussi le fait qu'au maroc on médiatise pas beaucoup les histoires privées
si qlq un a le lien pour télécharger ce livre qu'il le met ici et merci d'avance

l'histoire est d'un couple marocain qui a laissé tout au Maroc pour commencer une expérience au Quebec , mais il a echoué : pas de stabilité au travail , juste des petits boulots , les enfants ont perdu leurs identités , la trahison du mari , le divorce , retour du pére seul au Bled ,

salam M Laroui
n'oubliez pas la femme qui s'est retrouvée, elle a perdu un mari, des enfants mais elle s'est retrouveé.

se retrouver c'est a dire ?
je vois bcp d'échec dans cette relation de part et d'autre pour le mari ainsi que pour la femme
matérilleme,t il ya mille facon de vivre bien mais la question qui se pose quel est mon objectif principal dans cette vie et aussi qu'il est mon devoir envers ma religion envers ma famille

Entretien avec Rachida M' Faddel autour de «Canada, aller simple» : “Mon roman est inspiré de récits réels”





Rachida M'Fadel, journaliste et auteur, s'est installée au Québec il y a neuf ans et y a écrit son premier roman. Après sa
parution au Canada, son
deuxième roman « Canada, aller simple » vient de paraître, aux éditions Le Fennec. Cet ouvrage témoigne d'une autre réalité de l'immigration et lève le voile sur le mirage canadien, considéré souvent comme modèle idéal d'intégration.

Libé : Qu'est-ce qui vous a poussée à écrire ce livre ?

Rachida M'Faddel : Ce sont les découvertes que j'ai faites en arrivant au Québec, surtout les difficultés pour les Maghrébins, et pour tous les nouveaux arrivants, de trouver du travail. J'ai été également très étonnée par le taux de divorce dans notre communauté, près de 50% ! Ensuite, il y avait des problèmes par rapport aux médecins que l'on n'arrivait pas à avoir alors qu'au Maroc il y a un médecin presque à tous les coins de rue ! A partir de là j'ai mené l'enquête. J'ai notamment parlé à des chauffeurs de taxi qui avaient des diplômes d'ingénieurs, de médecins afin de comprendre comment ils en étaient arrivés là.

Quelles sont les difficultés principales auxquelles les migrants sont confrontés en arrivant ?

Principalement, la fracture qui se forme au sein du couple, car quand on est au Maroc il y a toujours l'entourage immédiat. Or en arrivant au Québec, le couple est seul : finies les ambiances festives. Nous sommes confrontés à de nouvelles valeurs que l'on doit accepter et surtout comprendre. Tout cela demande du temps. Le couple doit être fort pour surmonter les problèmes. Malheureusement, le plus souvent, la femme accepte n'importe quel travail mais en contrepartie ne peut plus s'occuper des enfants et assurer la gestion quotidienne du foyer. Or le mari ne parvenant pas à trouver un travail à la hauteur de ses qualifications, reste à la maison, mais tellement déprimé, il ne fait rien. Les enfants basculent car ils sont livrés à eux-mêmes. Petit à petit, l'écart se creuse jusqu'au divorce. Il y a également d'autres embûches pour trouver un médecin traitant, ou les hôpitaux qui sont toujours bondés.

Pourtant, le Canada est souvent vanté pour ses structures d'accueil destinées aux nouveaux arrivants. Qu'en est-il en réalité ?

Les structures d'accueil existent bel et bien et elles sont excellentes, contrairement à la France par exemple. Le problème résulte des choix des migrants eux-mêmes. Beaucoup ne veulent pas aller aux séances de formation, tout simplement parce que cela demande du temps. Lorsque vous arrivez dans un nouveau pays, la priorité est de trouver du travail. Or sans la fameuse « expérience québécoise » vous n'avez aucune chance. Aujourd'hui, je conseillerai aux gens d'aller se former, à la fois pour bénéficier d'un réseau mais également pour avoir un savoir-faire et une meilleure connaissance du pays. Il y a également la difficulté de la langue, notamment la barrière de l'anglais. Imaginez : même pour être concierge, il faut être bilingue ! Bien que les migrants soient prévenus, c'est toujours un choc de constater que la majorité des Québécois sont anglophones avant tout. C'est pourquoi les mises à niveau sont quasi-indispensables.
Par ailleurs, d'autres familles ne veulent pas faire directement appel à l'aide sociale en arrivant, pour des saisons de fierté. Cependant, il y a des avancées positives, car un réseau se met progressivement en place pour les Marocains du Canada, et puis les jeunes se font une place plus facilement aujourd'hui.

L'histoire de Nabil et Samia est-elle inspirée de votre histoire personnelle ?

Non, elle n'est pas inspirée directement de mon histoire mais de récits de vie réels. Au départ, je voulais faire un essai, puis je me suis dit que l'histoire de ce couple parlait plus aux gens, car elle est triste et bouleversante. Finalement, il existe beaucoup de Nabil et Samia au Canada !

Que conseilleriez-vous à nos ressortissants désireux de s'établir au Canada, ou ailleurs ?

L'immigration au Canada peut être favorable aux enfants, car elle leur permet un bilinguisme qui est un atout majeur. Je conseillerai simplement à toutes les personnes désireuses d’émigrer de bien se renseigner. Il faut savoir toutes les choses à ne pas faire. Avant d’émigrer, il faut toujours un plan B ! L'herbe n'est pas toujours plus verte ailleurs. Le Maroc est aujourd'hui un pays en plein progrès, et beaucoup d'Européens viennent s'y installer. Pour ma part, j'ai écrit ce livre en me disant: « C'est l'ouvrage que j'aurais aimé lire avant d'arriver au Québec. » L'avantage du système canadien, c'est que dans ce pays, chacun garde son identité propre et n'a pas besoin de s'assimiler. Le citoyen reste ce qu'il est avec son identité plurielle.



Vendredi 19 Février 2010
Propos recueillis par Sofia Aliamet



Source :
http://www.libe.ma

Salam,

Merci à tous pour vos commentaires enrichissants.
Merci à Mercedes pour ta contribution, très intéressante.

Je ne pense pas que Rachida M'FADDEL cherche à dissuader les gens d'immigrer au Canada, elle nous fait part d'une expérience qui n'a pas été des plus agréables et nous devons plutôt en tirer des leçons pour mieux nous préparer et faire en sorte que l'atterrissage se fasse avec le moins de "dégâts" possible.

Il est dans notre intérêt de prendre le temps de considérer chaque expérience bonne ou moins bonne. Cela ne peut que nous être utile.

A+
Rachel

je n'ai pas lu le livre, mais tout ce que j'ai à dire c'est qu'elle est belle, une beauté typiquement maghrébine.

Belmadi a écrit:je n'ai pas lu le livre, mais tout ce que j'ai à dire c'est qu'elle est belle, une beauté typiquement maghrébine.

hehehehe, c'est joli comme cloture de ce compte, elle est belle, mais elle tient a etre canadienne, et ecrit seulement sur l'echec, je vois personnelement qu'elle est seulement belle d'apprence lol :-, en son fond, c peut etre l'inverse: فافقد الشيء لا يعطيه

Les femmes maghrébines sont pleines de charme. Elles ne sont pas fades. Et ceci avec toute objectivité.